Rapport de stage en cabinet comptable

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– les activités sociales comportent la rédaction des contrats de travaux, l’établissement des bulletins de salaires et déclarations sociales et l’assistance auprès des organismes sociaux.

– les activités fiscales réunissent l’établissement de l’ensemble des déclarations fiscales, l’assistance auprès de l’administration fiscale et l’assistance en cas de contrôles fiscaux.

- Clientèles

Le cabinet est en charge d’une clientèle diverse et variée. En effet, elle est composée de commerçants, d’artisans, d’entreprises individuelles et d’entreprises de moins de 50 salariés. Les activités sont donc nombreuses et se composent en partie de restaurations, plomberies…

- Système d’information comptable

- Matériel informatique

Le cabinet contient quatre postes de travail. Le premier est disposé dans le bureau de Madame X. Les trois autres sont situés dans l’autre bureau. L’un appartenant à X et les deux autres réservés aux stagiaires. Me concernant, on m’avait attribué un login « st4 » et un mot de passe, commun a l’ensemble des stagiaires.

- Logiciels

Le cabinet utilise le logiciel CEGID expert 2008 subdivisé en sept modules distincts :

=> « Traitements courants » regroupant l’ensemble des taches nécessaires à la suivie du dossier telles que la saisie, la consultation des comptes, le lettrage et diverses éditions.

=> « Traitements annexes » représentant des activités complémentaires telles que le pointage ou encore le rapprochement bancaire. => « Immobilisations » comportent l’ensemble des traitements associés à ces dernières comme les amortissements.

=> « Outils comptables » concernent principalement les ouvertures ou fermetures des exercices, les validations ou suppressions par pièces, journal ou période.

- Système informatique

L’ensemble du système informatique et de la gestion des données est situé dans le cabinet de Mr X à Lyon. En effet, son cabinet comprend deux serveurs, le serveur TSE composé de Windows et le serveur Production contenant le logiciel Cegid. Les serveurs TSE, composant de Windows, permettent à l’utilisateur d’accéder à des applications ou des données stockées sur un ordinateur distinct par le biais d’une connexion réseau. Pour se connecter au serveur, une sécurité a été mise en place. Arkoon est un boîtier de sécurité firewall permettant la protection et le contrôle des réseaux. De plus, il assure la protection de l’information locale échangée ou partagée sur le poste de travail. Ainsi du cabinet de X, la connexion passe par différentes étapes. Elle débute au poste de travail. Une fois la connexion lancée, elle est vérifiée par arkoon pour être ensuite connectée au modem qui est un périphérique servant à communiquer avec des utilisateurs distants par l’intermédiaire d’une ligne téléphonique. De se fait, via internet, la connexion au serveur peut être effectuée.

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- Procédure de sauvegarde

La sauvegarde des données est réalisée sous deux formes. Tout d’abord, tous les soirs Mr X change la cassette regroupant l’ensemble des informations. De plus une sauvegarde annexe est effectuée par le logiciel garantissant la remontée des informations.

- ACTIVITÉS EFFECTUÉES

- Comptable

Dans l’entreprise, chaque client possédait quatre classeurs. Le premier comportait ses relevés bancaires, les factures d’achats et celles de ventes. Le second regroupait l’ensemble des pièces jugées comme permanentes telles que les déclarations de TVA et la Taxe professionnelle. Le troisième, nommé dossier annuel, contenait trois intercalaires, révision liasse et bilan. Pour finir, le dernier était le classeur de paie regroupant tous les documents relatifs à cette dernière.

- Le classement

Tout d’abord, lors de la remise des documents par le client, les pièces étaient triées. Quelle que soit l’activité du client, les documents étaient classés par nature. D’un côté, les factures de ventes, puis celles des achats, ensuite les relevés bancaires et pour finir les pièces à classer dans son dossier permanent.

Le second tri consistait à les classer par date, par mois de facturation.

- Relevés bancaires

Lorsque le tri était effectué, j’éditais la balance des comptes généraux pour observer les comptes utilisés pour le dossier. Je commençais donc la saisie du relevé bancaire dans le journal de banque correspondant, en observant si le solde à la fin du mois précédent correspondait à celui inscrit sur le document. Dans plusieurs cas, ce n’était pas le cas. C’est souvent à cet instant que je constatais que l’exercice précédent n’avait pas été clôturé. Les a-nouveaux n’étaient donc pas générés. Par conséquent, après avoir vérifié la concordance des soldes après ajout ou soustraction des a-nouveaux, je pouvais débuter la saisie du relevé. Je devais attribuer chaque ligne du relevé à un compte défini. Toutes celles dont je ne pouvais savoir leurs comptes de rattachements, je les attribuais dans le compte d’attente. Cela était très fréquent pour les chèques ou encore les cartes bancaires n’ayant aucune précision indiquée sur le relevé.

Après avoir fini la saisie du relevé, il fallait actionner la touche F6 pour obtenir le solde calculé. Je vérifiais donc le montant indiqué avec celui fourni à la fin du relevé. S’il correspondait, je changeais le libellé afin d’y noter « relevé au 31/**/2010 OK mq ano ». Néanmoins, concernant la banque deux cas se sont présentés à moi. Le premier est celui présenté précédemment et le second consistait à effectuer une intégration. En effet, cela résultait d’un paramétrage du logiciel pour chaque dossier simplifiant la saisie. Il suffisait de rentrer dans l’icône de la saisie de trésorerie, de sélectionner le compte banque mouvementé les mois précédents et d’intégrer une à une, en les sélectionnant, les lignes présentées. Cette pratique était utilisée dans peu de dossiers, car, en dehors du gain de temps lié à l’absence de saisie, elle