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Management à l’ère de la société du savoir, Fayol (1916)

Par   •  29 Mai 2018  •  1 176 Mots (5 Pages)  •  551 Vues

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La rémunération

Selon Fayol, une rémunération devrait toujours être établie en fonction des efforts que l’employé donne à l’entreprise. Celle-ci doit être équitable pour tout le monde. Notre cas n’aborde pas ce sujet. Mais, il nous laisse prétendre que des salaires plus élevés sont donnés aux employés choisis pour des tâches plus importantes.

Le degré de centralisation

Ce principe à comme but que « Tout ce qui augmente l’importance du rôle des subordonnées est de décentralisation; tout ce qui diminue l’importance de ce rôle est la centralisation. »5. Dans ce cas-ci on voit que l’entreprise est décentralisée puisque la haute direction n’est pas au courant des problèmes d’un de ses départements. À la page 9 du cas, il est indiqué que l’étude faite sera préservée à la confidentialité et que même les employés n’auront pas les résultats.

La hiérarchie

Ceci est un mécanisme nécessaire afin de faire circuler l’information et ce pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Comme montré à la figure 1 de la page 2, l’organigramme nous présente une organisation hiérarchique bien précise. Nous pouvons donc conclure qu’un système de hiérarchie est bien établi chez Sécuriplus.

L’ordre

La commande matérielle et la commande sociale sont indispensables. Le premier servira à réduire au minimum le temps et les manipulations perdu inutilement. Le second est réalisé par la sélection et l’organisation. Dans le service des réclamations sur les médicaments, trois problèmes majeurs font surface et ne respecte pas bien les deux commandes : des frais d’administration trop élevé, le taux de productivité est faible et il y a trop d’erreurs à corriger ainsi que trop de temps est consacré à traité des dossiers hors-normes et finalement la perte de temps improductive consacré à certaine tâche comme le déplacement ou le classement des dossiers.

L’équité

Elle découle d’une combinaison de gentillesse et de justice. Elle est nécessaire et bien traiter les employés de la part de dirigeant est important pour réaliser l’équité. Dans le service des réclamations des médicaments, M. Blanchette ne semble pas être équitable envers ses ressources. Comme l’extrait de la page 11 du cas nous démontre lorsqu’il discute avec son employé, Olivier, qui désire s’impliquer davantage, « J’ai dit au scelleur que quand je voudrais l’entendre japper je tirerais sur sa chaîne […]6. La façon de parler de M. Blanchette ne respecte pas l’équité et devrait être amélioré.

La stabilité du personnel

La stabilité est un facteur favorable pour une entreprise. Elle permet aux employés d’acquérir de l’expérience dans leur fonction. Le personnel de M. Blanchette semble être stable puisque selon les propos de celui-ci à la page 10 du cas, son employée Marie-Line Briens a autant d’expérience que les autres et elle fait partie de cette équipe depuis 3 ans.

L’initiative

Elle permet à l’employé de se stimuler et de mettre à terme les projets à temps. Un gestionnaire doit savoir laisser ses employées prendre des initiatives tout en gardant un certain contrôle. M. Blanchette ne semble pas favoriser l’initiative dans son département. Nous pouvons le constater lorsque son employé, olivier, suggère que les commis aux réclamations devraient être consultés selon l’étude qui avait été faite. Ceci permettrait d’expliquer certaines erreurs et ensemble ils pourraient trouver des solutions afin d’améliorer la situation. M. Blanchette semble fermé à cette idée de peur que le problème se sache en haute direction.

L’union du personnel

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