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Comment expliquer les fluctuations de la croissance ?

Par   •  22 Mars 2018  •  1 677 Mots (7 Pages)  •  733 Vues

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Le choc d’offre est un choc qui se produit lorsque la situation des offreurs se modifient en raison d’un événement. Ce choc d’offre est positif si les couts d’entreprise baissent, ile st négatif s’il engendre une hausse des couts d’entreprises.

Définition :

Un choc de demande se produit lorsque la demande globale adressée au producteur se modifie, quelle soit interne (c’est a dire des variations de la consommation) ou externe (ouverture d’un nouveau marché). Un choc de demande est négatif s’il déprime la demande.

Graphiquement, un choc de demande positif entraine un déplacement de la courbe de demande vers la droite. Un choc de demande négatif entraine un déplacement de la courbe de demande vers la gauche.

On peut dire que dans tous les cas un choc se traduira par une modification de la quantité produite. Pris pétrole → hausse des couts unitaires de production : choc d’offre

L’économie chinoise possède un dynamisme qui lui permette d’absorber un tel choc. Elle pourra compenser l’augmentation des consommations intermédiaires par des couts salariaux modérés.

Un choc pétrolier est donc un choc d’offre car les entreprises qui utilisent des produits pétroliers dans leur activités voient leur couts de production augmenté, ce qui peut les entrainer dans un contexte concurrentiel, les amenés à réduire leur niveau de production ou à faire faillite puisque les couts augmentent plus vite. C’est aussi un choc de demande au sens ou il traduit par un accroissement des prix du pétrole et donc par une diminution général du pouvoir d’achat des consommateurs. Pour prévenir un choc d’offre lié à une augmentation du prix du pétrole, il faut trouver des éléments qui vont compenser la hausse des couts des consommations intermédiaires. On peut jouer sur le cout du travail, ce qui permet de rendre une économie moins vulnérable face à un choc d’offre.

b) cycles de crédit

En cycle de crédit, en période de récessions, les banques vont tendance a réduire les crédits qu’elles accordent et cette réduction entraine un choc de demande négatif parce que le crédit alimentait la consommation de ménages comme des entreprises. Vu que la demande est réduite à cause des banques cela se traduit par un choc d’offre négatif car les entreprises peuvent moins investir donc cela réduit els capacités productives et de développement.

Cycle de crédit : en période d’expansion : on observe une forte hausse des crédits

En période de récession les banques sont moins confiantes, elles réduisent le nombre de crédits accordés. En période de récession, les crédits remboursés sont supérieurs aux crédits distribués.

L’effet de levier montre que les entreprises ont intérêt a emprunter massivement pour financer leur développement plutôt que d‘utiliser des capitaux propres lorsque les taux d’intérêts sont inférieurs aux rendements de l’investissement. Cette opération est intéressante puisque l’agent économiques va gagner plus d’argent que ce qui est nécessaire pour rembourser l’emprunt.

L’augmentation de la demande est encouragé par les couts bats des crédits d’où une baisse générale des prix. Le seul danger est le surendettement pour des agents économiques qui seraient tenté d’y avoir recours de manière déraisonnable.

Le Krach boursier entraine une baisse de l’accord des crédits de la part des banques. Les banques sont fragilisées par des pertes financières, elles sont consciente que les agents économiques sont moins solides, qu’ils peuvent avoir perdu des fonds avec le cours de leur action qui ont chuté donc des emprunteurs potentiellement plus fragilise/ le krach a de répercussions psychologique car il a des répercussions futures, notamment pour rembourser des prêt d’ou une baisse des crédits distribuées de la part des banques.

Il y a également une moins grande volonté des entreprises d’investir (effet accélérateur de Keynes), en raison des incertitudes économiques, d’où la consommation des ménages est en baisse pour plusieurs raison : d’abord, parce qu’on va essayer d’épargner en perspective d’éventuelle difficultés futures (chômage pour les ménages) et lier cette baisse de consommation à une baisse des revenus. Ce Krach boursier a donc des répercussions négatives sur les deux composantes de la demande globale : investissement (entreprise) et consommation des ménages.

Lorsque l’investissement s’accroit, par l’enchainement des vagues « revenus-dépenses-revenus », les revenus augmentent beaucoup plus que la valeur de l’investissement de départ.

Conclusion :

La croissance économique varie dans le temps et n’est pas similaire d’une région du monde à une autre. Elle s’évalue sur le long terme et est marqué par des cycles évolutifs. De nombreux facteurs permettent d’expliquer ces fluctuations : choc d’offre et/ou de demandes mais également une action des pouvoirs publiques qui tentent de réduire les effets conjoncturelles ou spéculatifs. Mais la croissance d’un état est également exposée dans un contexte de mondialisation au dynamisme ou aux fragilités des autres états partenaires économiquement. Il convient alors aux pouvoirs publiques d’anticiper pour adapter ses politiques conjoncturelles et optimisés ses chances de croissance.

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