Cas NAVMED

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du modèle IMC, analysez la décision prise par Luigi Mancini de se lancer dans les meubles de jardin en bois. Qualifiez cette décision. De quelle logique relève-telle ?

Pour que la décision soit la plus rationnelle possible, il faut d’abord identifier un problème, c’est ce que Simon identifie la phase d’intelligence. Ensuite, il faut chercher des solutions, c’est la phase de modélisation qui s’appuie sur une analyse des ressources de l’entreprise. Dans la phase de modélisation, on doit évaluer les conséquences de la décision, des conséquences financières ou humaines, à court et moyen terme. La 3ème phase est le choix, il correspond à une décision parmi les solutions possibles. C’est la phase de plan de décision. Le modèle IMC se poursuit par la mise en œuvre concrète de la solution avec des moyens financiers, humaines, technologiques. Enfin, il va falloir vérifier, contrôler, la décision prise et voir si la décision à les effets attendus. Si la décision ne produit pas les effets escomptés, il faudra mettre en œuvre des actions correctives et des actions de régulation.

➢ Phase d’intelligence : Lors du lancement de sa nouvelle activité qu’il a voulue lancée, Luigi ne sait pas poser les bonnes questions. Il aurait du réfléchir d’abord sur les concurrents, et aussi regarder les différentes attentes des consommateurs en réalisant une étude de marché.

➢ Phase de modélisation : Abandonner son activité de base qui est la fabrication de bateaux et se lancer dans une nouvelle activité qui serait de proposer une gamme de salon de jardin en bois.

➢ En choisisant cela, Luigi prends la décision seul sans consulter personne. Cependant ne disposant pas assez d’information pour lancer ceci, et il s’est appuyer sur sa notoriété et à son savoir-faire reconnue dans la maitrise du travail du bois. C’est ce qui l’as mener à l’échec. Cette décision relève de la logique entrepeunariale. Décision stratégique car long terme, pris par le top management et difficelement réversible

➔ Solutions argumentées

1. Proposez, en vous aidant de l’analyse de Croziers, une solution que Luigi Mancini aurait pu adopter pour répondre aux attentes de son personnel.

Pour Michel Croziers, l’entreprise est un lieu de pouvoirs où s’affronte les acteurs. Croziers dit que l’entreprise est un lieux «  de transactions » (échanges avec d’autres acteurs dans l’organisation) mais toujours dans le même but. C’est donc un jeux complexe d’acteurs qui défendent leurs intérêts personnel. Pour répondre aux attentes de son personnel, il aurait fallut mettre en place un jeu qui aurait changer les différents jeux des acteurs afin de mettre en avant leurs intérêts personnel. C’est à dire que il aurait fallut intégrer de nouvelles règles par exemple qui permettrai à son personnel d’atteindre leurs intérêts personnelles.

1. Après avoir qualifié le style de direction que veut mettre en place Patrice Nevel, montrez que ce style de direction peut-être une solution aux problèmes de l’entreprise.

Par rapport au différent style de direction selon Likert, le style que Patrice Nevel et les trois autres salariés qu’ils veulent mettre en place est un style participatif. En effet il veulent reprendre l’entreprise sous forme de société coopérative ouvriére de production . Avec cette coopération cela permettrais l’implications des salariés, le système de vote lors de prise de décision, tous les salariés participerais à la vie de la société.

Malgré que les différentes partie prenantes seraient toujours présente, ainsi que les groupes qui poursuivent chacun ses intérêts personnel, ce style de direction permettrai de prendre des décisions plus facilement, tout en écoutant chacun leurs intérêts personnel.

1. Analysez le style de gouvernance souhaité par les entrepreneurs.

La gouvernance d’entreprise précise la répartition des droits et responsabilité entre les divers acteurs et la vie de l’entreprise. Elle répond à une question, « Dans l’intérêt de quel partie prenante l’entreprise est-elle gouverner ? »Si on écoute Cyert et March, l’entreprise devra être gouvernée soit :

- Dans l’intérêt des partis prenante, on parle alors de gouvernance partenariale, ou stakeholders, ou


 - La satisfaction d’une partie prenante essentielle ; l’actionnaire. On parle donc de gouvernance actionnariale, ou shareholders.

Les repreneurs de l’entreprise de Luigi souhaitent une gouvernance partenariale. Cette gouvernance permet de prendre en compte les intérêts de chaque parties prenantes. En effet cela permet de mettre toutes les parties prenantes « sur une même échelle » en considérant chaque intérêts de chaque partie prenantes importantes.