Adm 1002 tn2, intiation à la gestion
Par Matt • 19 Octobre 2018 • 3 070 Mots (13 Pages) • 641 Vues
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1.2 L’organisation scientifique du travail des Assurances Sécuriplus
Le modèle de l’organisation scientifique est une approche élaboré par Taylor, ingénieur en sidérurgie. Ce modèle vise en autre à favoriser la production de la masse, mais l’intention première était de concilier les interets économiques des patrons avec ceux des employés pour la prospérité de tous, les patrons eux s’assure le développement et la stabilité de leur entreprise, les profits à long terme et non plus à court terme. Les employés eux s’assurent d’un salaire ponctuel et a longt terme ainsi que des aptitudes de travail efficace.
En vue d’une organisation optimal du travail dans l’entreprise, Taylor a élaboré cinq principes ; la recherche de la meilleure méthode pour la réaliser une tâche, le recrutement de l’individu le plus aptes à accomplir cette tâche, la formation (suivi et contrôle permanents du personnel), la mise en place d’un système de salaire proportionnel au rendement et la séparation rigoureuse des tâches entre ceux qui conçoivent et exécutent (meier,2002,p.55).
Dans l’entreprise Assurance Sécuriplus, on observe quelques problèmes dont le rendement du service des réclamations/médicaments, qui prend plus de temps que prévue, la majorité des plaintes de la clientèle est effectuer sur cette division. Une étude de temps sur le traitement des réclamations avait été faite en interne avec chaque type de réclamation (simple, complexe et refusée), l’étude a démontré qu’il y avait huit pourcent des réclamations qui comprenaient une erreur de traitement. Selon la figure 6 de l’étude de cas, nous avons classifié les erreurs en six catégorie; Approbation de réclamation non valide, le refus de réclamations valides, l’approbation d’une réclamation portant sur un médicament sans ordonnance, le refus d’une réclamation portant sur un médicament sur ordonnance, l’approbation de remboursement trop élevé et l’approbation de remboursement trop bas.
Par conséquent, nous observons que dans cette entreprise que plusieurs de ces principes sont utilisés. Premièrement, M.Blanchette avait déclaré « ils ont tous eu dix heures de formation intensive lorsque le nouveau système informatique dernier crie qui a été installe l’année dernière ( Atkinson, 1999, p.10)» ce qui veut dire que le recrutement de l’individu le plus aptes à accomplir la tache a bien été fait, Deuxièmement, le contrôle et le suivi permanent des employés est présent ; M.Blanchette a declarer « J’ai perdu le compte du nombre de mémos que j’ai envoyé à tous les commis aux réclamations pour leur souligner qu’ils ne font pas du bon travail. (Atkinson, 1999, p.11)»
Question 2 (5 points)
En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond ou ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes administratifs d’Henri Fayol.
Réponse ;
1.1 Le principe d’administratif de l’entreprise Assurance Sécuriplus
L’entreprise Assurance Sécuriplus correspond aux principes administratifs, tel qu’indiquer par Henri Fayol, il y a quatorze principes de base ; la division du travail, l’autorité et la responsabilité, la discipline, l’unité de commandement, l’unite de direction, la subordination de l’intérêt individuel à lintérêt général, la rémunération, le degré de centralisation, la hierarchie, l’ordre, l’équité, la stabilité du personnel, l’initiative ainsi que l’union du personnel. (Management à l’ère de la société du savoir, p.40)
Quand nous observons l’étude de cas, nous pouvons remarquer que plusieurs de ces principes sont utilisés chez Assurance Sécuriplus. Premièrement, au niveau du principe de division du travail nous savons que l’entreprise compte trois divisions (vie, industrielle et médicale) et quatre division spécialisées (Service administratif, vente, réclamations/médicales et réclamations/dentaire) Selon Fayol ; « il importe que les travailleurs soient spécialisés; de cette façon, ils deviennent sans cesse plus expérimenté et plus productif.»
Deuxièmement, l’autorité et la responsabilité correspond au droit de donner des ordres et au pouvoir de les faire exécuter, tel que M.Blanchette le stipule « j’entends bien changer les choses et améliorer les performances autour d’ici et tant pis s’il faut congédier chacun d’eux pour y arriver (Atkinson, 1999, p.11).» Ce qui nous démontres encore que ce principe est bien utilise dans cette entreprise.
Troisièmement, la discipline consiste à se plier aux conventions telles que Fayol (1962, p.23) a dit « lorsqu’un défaut de discipline se manifeste ou lorsque l’entente entre chefs et subordonnés laisse à désireé, il ne faut point se borner à en rejeter négligemment la responsabilité sur le mauvais état de la troupe; la pluspart du temps, le mal résulte de l’incapacité du chef.» Dans l’étude de cas, lorsque M.Blanchette (directeur) rappelle au commis que leur travail ne tient qua un fil comme suit «je lui ai dit de se mettre à l’ouvrage et de s’arranger pour comprendre faute de quoi elle devra se chercher du travail ailleurs.(Atkinson, 1999, p.10)» Nous pouvons donc observer que ce principe est relié en tout point chez Assurance Sécuriplus.
Quatrièmement, L’unité de commandement (chaque personne ne doit dépendre que d’un seul chef) ainsi que l’unité de direction (les personnes qui y travaillent dans un m¸eme but doivent relever d’un seul patron, mais aussi d’un seul programme (Management à l’ère de la société du savoir,p.41), ceci est bien démontrer dans la Figure 1 et 2 de l’étude de cas, ceci revient même à démontrer les propos de la question 1 de ce présent texte.
Cinquièmement, la subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt générale, les buts de l’entreprise doivent primer les interets individuels. Stipuler comme suit dans l’étude de cas ; « … entre temps, je voulais le voir devant son écran et qu’il avait intérêt à faire du travail qui vaudrait le respect de la direction.(Atkinson, 1999, p.11)» M.Blanchette a stipulé que ce commis devrait ce tenir droit, qu’il ne chercherait plus d’excuse pour lui.
Sixièmement, certains principes ne sont pas mentionnés dans l’étude de cas, mais avec tout ce qui est dit je peux en déduire que plusieurs de ceux-ci
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