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AIP : Le microcrédit

Par   •  20 Juin 2018  •  19 579 Mots (79 Pages)  •  508 Vues

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La cinquième partie bis, consiste en la présentation du pré-test de l’outil de données et l’amélioration de l’outil de récolte de données. Dans cette étape nous prendrons du recul et nous analyserons ce qui a bien fonctionné et ce qui n’a pas bien fonctionné par rapport à l’outil de récolte de données plus l’établissement de l’amélioration.

Finalement, pour clôturer ce travail, nous établirons une conclusion générale qui portera sur la méthode appliquée et les résultats obtenus avec cette méthode, ainsi que les difficultés rencontrées.

Partie 1 :

La question de départ

- Présentation thème et phénomène

Le thème du travail porte sur la finance et le phénomène abordé porte sur le microcrédit.

Question de départ : Quel impact à l’introduction du microcrédit dans l’économie belge ?

1.2) Justification :

Principes à respecter

CLARTE

La question de départ, n’est pas trop longue, elle ne fait qu’une ligne. Elle est claire, concise et univoque dans le sens où l’on comprend directement le sujet abordé. La question, cible le microcrédit et ses applications. Les termes clés : « Economie, Microcrédit et Microéconomie » définissent la question de départ, elle est donc précise (voir Fiche de lecture n°1). Les termes-clés sont tous définis sur base des sources scientifiques ou dictionnaires spécialisés trouvés en bibliothèque, elle est donc concise. La question de départ, cible un domaine bien précis et permet au questionnement d’être restreint ce qui permet dès lors une meilleure approche du sujet, elle est donc univoque.

PERTINENCE

La question de départ n’est pas descriptive, elle constate simplement un phénomène observé. Elle n’est pas trop vaste car elle cible le phénomène étudié et ne s’étend pas dans d’autres domaines. La question est justifiée par rapport à un contexte économique et social qui est « l’introduction du microcrédit ». La question de départ nous aide donc à comprendre, expliquer le phénomène étudié. La question de départ ne contient aucun jugement implicite et se base simplement sur des constations et des observations économiques et sociales lié directement ou indirectement au microcrédit. La question ne cherche pas à prévoir l’avenir, la pratique du microcrédit, s’applique déjà depuis de nombreuses années et s’utilise de plus en plus dans les pays industrialisé, c’est pourquoi cette pratique n’est pas prête d’être oubliée.

FAISABILITE

Les contraintes matérielles et techniques que l’on pourrait rencontrer sont vaines car tous les moyens de communication en parlent, internet, journaux, articles spécialisés,… Il est donc très facile de se procurer un bon nombre d’informations sur le phénomène étudié. Au vu de la quantité des sources disponibles, le temps nécessaire pour trouver des informations est assez faible et il ne faut pas avoir de grandes compétences pour s’informer sur le phénomène. La résolution de la question est donc possible avec les moyens que l’on a à sa disposition.

- J’ai choisi ce phénomène car cela m’intriguait de savoir pourquoi on appliquait cette méthode en Europe et qu’est ce que ça allait apporter aux économies européennes de développer le microcrédit.

Puisque le microcrédit était à la base destiné aux pays en développement, le fait qu’il s’applique en Belgique m’étonnait. Puis, en m’informant sur les raisons de l’utilisation du microcrédit, j’ai mieux compris pourquoi il pouvait également être destiné à la Belgique ou aux autres pays d’Europe. C’est surtout après la crise de 2008 que le phénomène a pris de l’ampleur car la crise a engendré des cas difficiles à résoudre. Comme le surendettement de certaines familles ou le financement de certaines sociétés. Ce qui m’a donc poussé à choisir ce phénomène, c’est le fait que pour moi le microcrédit a aussi de l’avenir dans nos sociétés et qu’il est plus utile qu’on ne le croît.

Le deuxième élément qui m’intriguait, c’était de savoir si le microcrédit pouvait être bénéfique aux économies développées comme pour les économies sous développées.

- Dans la revue : « Le microcrédit en Belgique : naissance état des lieux et futur »[1]. Il est constaté que les prêts façon microcrédit pratiqués par les banques sont en nette augmentation. Il nous est aussi expliqué pourquoi et comment le microcrédit est arrivé en Belgique. Ce qui répond aux questions que je m’ étais posé la première fois que j’avais entendu parler de microcrédit. De nombreuses organisations comme les IMF (Fonds de participations) comme Crédal ou Brusoc sont passées maîtres dans le microcrédit.[2] Ce que la source nous apprend aussi c’est que le microcrédit comparé aux autres prêts, est un prêt qui s’effectue dans des conditions spécifiques mais qui ont tout de même l’avantage d’être à des taux d’intérêt vraiment réduits.

Quant à l’impact sur les économies, cette source ne nous apprend pas grand chose. A part que le gouvernement apporte une grande attention à soutenir ces initiatives, ce qui est signe que le microcrédit est un bien pour l’économie du pays en question.

- Dans l’article de presse de La Libre qui s’intitule, « le microcrédit, quels effets sur la pauvreté ? » On peut lire : « qu’il existe en réalité deux sortes de microcrédit, le professionnel et le personnel. »[3] Ainsi se regroupent les deux notions établies dans ce travail. Celle qui porte sur le démarrage de micros entreprises, grâce aux micro-prêts et celle qui porte sur l’aide que le microcrédit apporte afin de sortir les gens de la pauvreté. Le microcrédit va alors permettre aux gens de se remettre dans le bain du monde du travail et leur permettre d’avoir un emploi et ne plus être considérés comme chômeurs. Mais certaines critiques exposent le fait que malgré les efforts fournis les situations des personnes ne s’arrangent pas toujours et peuvent même empirer à cause du microcrédit.[4]

Partie 2 :

L’étape exploratoire

2.1) Synthèse

1. Objectifs

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