Uniformisation culturelle

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L’omniprésente culture américaine dans le monde donne naissance à une influence mondiale parfois inconsciente de la population, mais bien présente. Le jeans s’est normalisé, les pseudonyme à tonalité américaine est à la mode pour les célébrités comme par exemple Mario Girotti qui a choisi de se faire appeler Terence Hill. Les marques américaines sont aussi particulièrement populaire comme les Nike qui sont devenus les basket de références.

Limites :

Malgré une culture américaine qui semble prendre de plus en plus d’ampleur, les traditions, les valeurs et les modes de vies qui caractérisent des pays ou des nations restent fort, car les populations ont ce sentiment d’appartenance à leur patrie encré en eux-mêmes.

De plus, l’européanisation, vue en sociologie comme l’occidentalisation est définit comme le processus de contact et d’assimilation culturel entre deux groupes. Cette européanisation a débuté lors des colonisation qui ont imposés les langues, les architectures et les religions permettant ainsi de rependre leur culture. Ils ont imposés par la force au début leur sens esthétique et des valeurs devenus « universelles » et approuvés par la majorité.

Ainsi la culture américaine est certes, rependue et utilisée dans le monde entier mais n’est pas sans limite. Les divers traditions, valeurs et modes de vies caractérisent les multiples cultures présentes dans du monde entier et ne sont pas prêtes de disparaître, car les individus appartiennent tous à un groupe d’individus auxquels ils sont fières d’appartenir. Ils ont grandis dans un environnement qui n’est pas uniquement composée et imprégnée par la culture américaine mais également celle européenne ainsi que la leur. Nous pouvons d’ailleurs voir ces différences à l’échelle mondiale par le fait que les produits commerciaux s’adaptent en fonction des différents pays ( le Coca Cola est d’avantage sucré aux États-Unis qu’en France).