Macro économie, cours.
Par Ninoka • 21 Novembre 2017 • 33 161 Mots (133 Pages) • 588 Vues
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Elle est capable de décrire ce qui est ds ce cadre → économie positive.
Et ce qu’il faudrait faire → économie normative. Pourquoi les recommandations économiques sont-elles si différentes? Les écoles de pensées et les décisions économiques. Certains y gagnent d’autres y perdent, le choix d’une politique économique dépend du système de valeur auquel on croit. Ce qui est important c’est la dimension scientifique d’une théorie, une théorie est scientifique si les propositions sur lesquelles elles débouchent ne peuvent être infirmées par l’observation. Karl POPPER : « on ne peut jamais dire qu’une théorie est nécessairement vraie mais en revanche il suffit d’une seule propositions inverse pour que celle-ci soit réfutée ». 2 théories concurrentes on choisit celle qui enveloppe le plus.
→ la crise de 1929. les keynésiens vont interpréter la crise de 29 comme une forte chute de la demande globale.
Friedman (prix Nobel), la crise est due à la banque centrale qui a délaissée les gens. Il y a eu contraction de crédit. Knidle Berder, il interprète la crise de 29 par l’absence d’une puissance économique mondiale forte qui aurait empêché le repli protectionniste. Le commerce mondial a réduit d’un tiers. Les théories économiques peuvent aussi évoluer lorsqu’elles ne permettent plus d’expliquer les faits (comme le chômage). Les économistes classiques pensent que le chômage est d’abord volontaire, puis qu’il ne peut pas exister de crise du à l’insuffisance de la demande et que l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie. La crise des années 30 va montrer de l’inadéquation de cette approche avec les faits et va permettre l’apparition de la théorie keynésienne et de la possibilité de l’existence d’un équilibre de sous-emplois ce qui dc justifie l’intervention de l'État pour restaurer la croissance.
Dans les années 60, la pensée dominante est celle des économistes keynésien qui prônent l’intervention de l'État dans la régulation de l’économie nationale → politique du « stop and go ». cependant le point faible est une explication de l’inflation et dès le début des années 70, la tendance inflationniste était déjà forte ds des pays industrialisés, et ceci a entraîné le retour de la théorie monétariste. 2 branches principales ds l’économie:
→ la micro économiques (l’étude des actions économiques des individus). A l’échelle micro-économiques, un arbitrage, un choix d’occupation prise en compte d’un coup d’opportunité. Le choix s’effectue par la prise en compte du revenu escompté (attendu) et du goût du risque de l’entrepreneur potentiel ds une démarche rationnelle. d’autres motivations comme le goût de l’indépendance ou le désir d’accomplissement de soi peuvent aussi entrer en ligne de compte ds le choix de l’activité entrepreneuriale.
→ la macroéconomie (l’étude des larges agrégats comme l’emploi global et le revenu national). On lui adjoint parfois une branche intermédiaire: la Méso économique qui est l’étude des actions économiques des individus et groupes d’individus à un échelon restreins ce qui permet de prendre en compte des différences historiques, culturelles, politiques voire institutionnel. A une échelle macroéconomique, on regarde si le pays a bcp de créateur d’entreprise. l’intensité entrepreneuriale est différente d’un pays à l’autre, en France on a plutôt une faible intensité entrepreneuriale et surtout motivée par des personnes qui ont un faible coût d’opportunité d’entreprendre (chômage de l’entreprise). Dans d’autres pays l’activité entrepreneuriale est plus élevée en valorisant une idée nouvelle (innovation).
A une échelle Méso économique on peut se rendre compte l’intensité entrepreneuriale est différente selon les territoires considérés (district marshallien). Il ya des différences de cultures entrepreneuriale.
Le tps en économie est important et les méthodes d’analyse sont instantanées, la vitesse d'ajustement n’est pas déterminée, la statique est à très long terme le mieux est le résultat final ds l’analyse des procésus qui permettent d’aboutir à ce résultat suite à la dynamique monnaie. On distingue la dynamique courte, par le multiplicateur keynésien pour mesurer l’effet d’un mécanisme de relance de l’activité à court terme.
La dynamique longue qui étudie selon la méthode analytique toute chose = par ailleurs, les phénomènes de plus long terme: les modèles de croissance économique. On distingue aussi la dynamique historique des classiques: des auteurs économiques ont eu des prévisions très larges comme Karl Marx. On distingue aussi l’analyse ex-ante étudié en début de période avant que les réactions qu’ils suscitent ne se manifestent → analyse prospective. Les phénomènes sont dc constatés puis expliqués grâce à l’historique du déroulement des actions en cours de période.
On distingue 2 grandes méthodes:
→ Méthode déductive: elle part de principes généraux à partir desquels on va construire des modèles de comportement.
→ Méthode inductive: elle part des faits économiques établis par l’observation pour établir des liens et de dégager des uniformités → lois économiques.
Les 2 méthodes sont substantiels, Ricardo a déduit sa théorie avec la méthode inductive. Alfred Marshall (les 2 économies sont tjs liées) « les historiens font tjs des déductions et les auteurs les plus déductifs ou moins à des faits observés ».
Historiquement, l’analyse verbale puis littéraire a constitué une première étape dans le développement des théories économiques. Les relations quantitatives se complexifiaient, le recours à des outils des statistiques s'est accru et une branche de l’économie, l’économétrie s’est développée.
→ (y= PIB, C=cy+b → fonction de C° keynésienne). La théorie des jeux et des sondages...
Chapitre 1: représentation de l’économie et la mesure des grandeurs économiques fondamentales
chapitre 2: l’économie réelle dans le long terme.
Chapitre 3: les fluctuations de court-terme
chapitre 4: politiques conjoncturelles
chapitre 5: intervention de l’Etat et fiscalité
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