Les inégalités de richesse au niveau mondial.

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différentes :

BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, South Africa) = premiers pays qui ont réellement émergés ;

Next Eleven (Bangladesh, Egypte, Indonésie, Iran, Corée, Mexique, Nigéria, Pakistan, Philippines, Turquie, Vietnam) regroupe 11 pays qui peuvent jouer demain le même rôle dans l’espace économique mondial que les BRICS ;

BENIVM (Bangladesh, Ethiopie, Nigéria, Indonésie, Vietnam, Mexique) : prochains pays qui auront un décollage économique important mais pas obligatoirement eux.

Le décollage économique des pays émergents se fondent sur un certain nombre d’éléments :

Taille importante de la population offrant un marché intérieur conséquent (P° locale peut s’écouler totalement) mais aussi nombre de m-o non négligeable (ex : Chine) ;

Ouverture au commerce mondial par le biais d’un commerce extérieur dynamique (politique d’exportation massive) ;

Un soutien public à l’ouverture et aux infrastructures (ouverture du commerce internationale = subventions pour faire venir des entreprises, zones franches, défiscalisations, facilité à s’implanter)

Ce décollage économique des pays émergeants ne doit pas XXXXXX d’inégalités parfois fortes et en croissance.

Ainsi la Chine présente aujourd’hui un coefficient de GINI qui en fait l’une des économies les plus inégalitaires du monde. Les fossés entre riche et pauvre, urbains et ruraux, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes restent marqués et parfois colossaux. Par exemple dans grandes villes brésiliennes, des parties entières de la population sont isolées par manque d’infrastructures de transport et les taux de chômage et de pauvreté se maintiennent à des niveaux très élevés.

La persistance des fractures entre les pays les plus riches et les plus pauvres

Les classements récents des pays selon leur IDH (PIB/hab, espérance de vie à la naissance, taux d’alphabétisation) mettent en évidence des situations extrêmement contrastées alors qu’une vingtaine de pays dans le monde présente des IDH situés aux alentours de 0,90 (pays riches), d’autres voient leur IDH stagner autour de 0,30 depuis plusieurs décennies.

Une telle valeur s’explique par des espérance de vie située en dessous de 50 ans, des durées moyennes de scolarisation de 1 à 4 ans.

La catégorie des PMA (Pays les Moins Avancés) regroupent aujourd’hui 49 pays contre à l’origine 25 (créé en 1971). La plupart d’entre eux sont situés en Afrique Subsaharienne et en Asie.

L’intégration d’un pays dans cette catégorie repose sur la combinaison de plusieurs critères :

Revenu moyen < 745$/personne (par an) ;

Développement humain faible ;

Vulnérabilité économique élevée ;

Population < 75 millions de personnes.

Les pays les moins développés au monde sont aussi ceux qui participent le moins au commerce mondial ainsi les pays Africains ne contribuent qu’à 3,5% aux exportations mondiales de marchandises.

La faiblesse de ces participations contribuent à entretenir des niveaux de développement et de richesses faibles. De plus, ces pays sont aussi soumis à des tensions économiques et sociales, politiques, des conditions météorologiques difficiles, des catastrophes naturelles. Ces pays se retrouvent sous la dépendance