La mesure du développement
Par Junecooper • 29 Août 2018 • 2 424 Mots (10 Pages) • 419 Vues
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Cet IDH est calculé par un indice de santé, d'éducation et niveau de vie le RNB/hab, l'espérance de vie a la naissance, la durée moyenne de scolarisation et la durée attendue de scolarisation. On va prendre le log du RNB/hab en PPA. Ces quartes variables vont permettre de calculer 3 indicateurs qui sont tous calculé de la même manière. Ils sont normé compris entre 0 et 1.
Méthode de calcule des indices ; (valeur réel - la valeur minimale) / (valeur max- valeur min)
IDH compris entre 0 et 1 = moyenne géométrique des trois indicateurs revenu, santé et éducation (Racine de la somme des indicateurs) (Macro TD1)
Limites de cet indicateur : méthodologique ; on considère la durée moyenne de scolarisation par exemple. La qualité du système compte, les taux de brute de scolarisation sur estime par exemple le nombre d'individus car l'inscription de garantie pas la qualité de l'éducation. Mais comment donner un poids a chaque indicateur ? Agrégé devient compliquer, on a choisis d'accorder le même poids a chacune des dimensions ce qui est arbitraire, conventionnelle (jugement de valeur).
Principal défaut : ces indices sont des moyennes et reflètent mal les conditions effectifs de la population. La plupart des gens dans le pays ne vont pas avoir l'accès a ce que dit l'indicateur, les indicateurs masquent les inégalités et les disparités (pas d'uniformisation des répartitions). Il faudrait calculer l'IDH sur différents segments de population -> désagrégé ces indicateurs pour mieux appréhender la réalité.
Résumé :
- Le fait que l'IDH est une force = moyenne de trois dimensions
- Faiblesse : cette mesure avec des indicateurs synthétiques ne reflète pas la réalité, on ne prend pas en compte les disparités -> mauvaise vision des condition de vie de la majeur partie de la population. En temps que moyenne de la répartition de ces différentes composantes entre les individus de la population.
Paradoxalement, dans les pays dvp les inégalités se creusent alors que dans les pays en développement il diminue.
Classification :
Le PNUD propose un classement depuis 1990 avec l'IDH : on a les pays a IDH très élevé, élevé, moyen et faible. Il nous dit que les pays a l'IDH faible sont différents que ceux du RNB/hab mais il reste des similitudes. Les pays les plus pauvres sont les pays ou l'IDH est le plus faible.
La corrélation entre les deux indicateurs est imparfaite même s'il y a des similitudes.
La richesse matérielle nous donne un potentiel pour le développement humain mais ne nous dit pas si cela s'est réalisé. Si en moyenne les deux indicateurs varient dans le même sens, l'IDH donne néanmoins des infos supplémentaires -> interet comme indicateur
Progrès en terme d'IDH : tout les pays on progressé par rapport a 1990 en terme d'IDH. Amélioration du développement humain mais il reste de très grandes disparités régionales, le niveau d'IDH de l'Asie va converger vers celui de l'Amérique latine, avant écart important. Ecart a presque disparu -> rattrapage de l'Asie. Au contraire l'Afrique par rapport a l'Asie du Sud qui avait un niveau indentique en 1990 a aujourd'hui un écart plus creusé. Une plus grande inertie pour les pays a faible revenu : on du mal a décoller + la croissance ralentit en général. L'essentiel des pays a faible revenus sont resté des pays a revenus faibles, mais plus on est haut dans l'échelle plus la proba de monter dans l'échelle est élevé. La proba de changer de catégorie elle est plus faible si on part d'un niveau pas : inertie.
Autre limite de l'IDH : néglige inégalités, cache des disparités dans la distribution des composantes. En 2010 nouvel indicateur : IDHI
L'indicateur de développement humain ajusté des inégalités
Corriger la valeur de l'IDH pour prendre compte de la disparités dans la distribution des trois composantes de l'IDH. Plus l'inégalité s'accentue plus l'IDHI est faible. Perte de développement humain liée aux inégalités et calculé sur les trois dimensions. Les inégalités liées a l'éducation et au soin sont réduites mais les pertes liées aux inégalités de revenus se sont accrus. Au total on a un indicateur qui est resté stable par rapport a l'IDH, des perte faible car ces pertes ont été compensés. Exemple : Les USA perdent 25 places des lors qu'on corrige ces inégalités. Alors que la Finlande et la Suède gagnent des places.
On constate également qu'il y a une corrélation négative entre les inégalité et les progrès ultérieurs de l'IDH. Plus les inégalités sont élevés plus les progrès ultérieurs sont faibles. Les inégalités freinent le développement quand elles sont trop importantes.
Remarque : IDH n'est pas un bonne indicateur des libertés politiques, démocratiques. Lien positif et robuste entre IDH est pollution, plus IDH élevé plus pollution élevé. IDH n'est plus un bon indicateur de développement si on prend le critère de durabilité. Problème du point de vue de la gouvernance mondiale. Quel objectif favoriser ? Favoriser le développement durable s'est freiner le développement humain? La priorité dans les pays les plus pauvres c'est d'assurer de subvenir aux besoins de sa population, alors que quand on est riche on peut s'intéresser aux problèmes environnementaux. Objectifs différents en fonction du niveau de richesse du pays.
Dans un monde globalisé les défis se posent pour tout le monde. Il est important de nourrir le monde si on veut assurer une stabilité dans le monde. On voit la difficultés d'atteindre l'objectif de nourrir le monde et préserver l'environnement. Choix selon les préférences et les valeurs des individus.
Indicateurs de développement durable : Intégrer la dimension environnementale
- Indicateur d'empreinte écologique : mesure la pression par les hommes sur les ressources naturelles et les services écologiques fournis. Si on le rapporte à l'IDH : corrélation positive entre la pression écologique quand l'IDH aug .
- L'épargne authentique :
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