La cigarette Électronique cas

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nouvelle option pour les fumeurs chronique afin de soustraire les substances toxiques en lien avec le tabagisme conventionnel ne devrait pas être boudée par manque de preuve suffisante, car les professionnels de la santé ont peur de passer à côté d’une révolution sanitaire face à ce fléau.

(Dans cette synthèse, j’ai volontairement sauté la section qui nous informent des effets néfastes selon la santé publique du Québec, sur les consommateurs de la CE, car ceci fait partie de mon deuxième article)

Deuxième Article;

Rapport de L’INSPQ ( Institut national de la santé publique du Québec) mai 2013

Selon le rapport de plus de 43 pages, la santé publique ne cherche pas à minimaliser les effets entourant la CE.

La CE est un dispositif électronique qui diffuse une solution liquide sous forme de vapeur inhalé par le consommateur. Il permet ainsi de reproduire les composantes sensorielles et comportementales de l’Acte de fumer. Jusqu’à présent, les études n’apportent que des informations partielles sur la CE avec nicotine et encore moins pour la CE sans nicotine. Pour le moment, il n’existe aucune norme de fabrication associée à la cigarette électronique. Donc selon L’INSPQ, aucun contrôle n’est effectué lors de la fabrication de celle-ci et du liquide utilisé. L’étude a démontré qu’il y avait des traces d’impuretés et des contaminants chimiques en lien avec le tabac ( anabasine, myosmine et b-nicotyrine).

L’offre pour un consommateur peut être très alléchante, car pour un seul vendeur de ces produits, nous pouvons retrouver plus de 160 produits et saveur, dont Malboro, Kent et Camel, sans compter toutes les saveurs impressionnantes; jus pomme, banane, lavande, vanille, etc., etc. Toujours selon la santé publique, il existe un problème

L’étiquetage démontre clairement qu’il y à un manque d’information juste, car selon des tests effectués, sur un emballage inscrit sans nicotine, ont clairement démontré que des concentrations réelles de nicotine était présentes. La santé publique fait un lien avec une bouteille « e-liquide » qui peut contenir jusqu’à 500 mg de nicotine, ce qui représente 10 fois la dose mortelle chez un adulte moyen. Donc des erreurs d’étiquetage comme celle-ci peuvent entrainer de sérieux problèmes à un utilisateur. Il serait donc primordial de mettre en place des standards de contrôle qualité ainsi qu’aux normes du processus de fabrication.

Les effets sur la santé sont non négligeables, l’OMS à classifié la nicotine comme un produit « très dangereux » et hautement addictif pour les consommateurs. La nicotine liquide comme celle que l’on retrouve dans des bouteilles destinées à la CE, a été utilisée ultérieurement comme un pesticide. De plus, ce liquide peut-être mortel pour l’humain si une certaine quantité est ingérée. Sans compter le nombre impressionnant de symptômes rattachés à celle-ci lors du contact cutané et lorsqu’elle est ingérée.

Il existe une similitude très rapprochée entre la cigarette conventionnelle et la CE. La CE pourrait porter atteinte aux efforts de prévention dédiée à l’usage du tabac . En effet, la santé publique tente de dénormaliser l’usage du tabac afin d’éliminer le nombre d’adeptes depuis plusieurs années. Les résultats sont concluants, les campagnes de sensibilisation on eu un franc succès sur le nombre de fumeurs, mais la CE pourrait saper tous ces efforts. La CE sans nicotine vendue partout sans être prise en charge par un système, aidera grandement à renormaliser cette pratique en la banalisant sans comprendre les effets néfastes liés à cette pratique. Beaucoup de questions demeurent sans réponse, car la CE est relativement nouvelle sur le marché et les études manquent encore à l’appel. Il faudra quelques années afin d’en comprendre entièrement les effets en totalités sur la santé et l’influence sur la pratique sociale du produit.