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ADM1002 travail noté 1, initiation à la gestion

Par   •  21 Octobre 2018  •  1 990 Mots (8 Pages)  •  510 Vues

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- La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt générale :

Ce principe s’explique simplement, les intérêts individuels ne doivent pas l’emporter sur les buts de l’entreprise. Rien n’indique dans le cas que les employés accorde plus d’importance à leurs intérêts que ceux de la compagnie. Nous pouvons donc suposé que la compagnie respecte ce principe.

- La rémunération :

La rémunération doit tenir compte des performances et effert des employés. Que ce soit une rémunération à la pièce ou une forme de bonis à la perfermance. L’entreprise n’offre aucun avantage à ceux qui performent et qui donne un effort important afin de réaliser les buts de l’entreprise. Il va de soit, selon Fayol, qu’un employé performant au dessus de la moyenne soit récompensé pour ses effort et rémunéré de façcon plus importante qu’un employé dit moins performant.

- Le degré de centralisation :

L’entreprise a décentraliser la prise de décision en ayant trois divisions et des sous-divisions dans celle-ci. Pour Fayol, il n’y a pas de degré précis de centralisation ou de décentralisation pour une compagnie. Elle doit simplement trouver la bonne. Pour Sécuriplus, rien n’indique que la décentralisation pause problème.

- La hiérarchie :

Le fonctionnement d’une entreprise est tributaire d’une hierarchie précise. Une communication doit suivre les niveaux établis. Dans la compagnie les niveaux hierarchique sont très bien défénis et la communication ne semble pausé aucun problème.

- L’ordre :

Dans l’odre, à la fois le matériel et les ressources humaine sont impliqués. Que se soit une personne ou une photocopieuse, elles doivent être la ou elle sont requise. Aucune problématique majeur n’est souligné à se sujet dans le cas. Il y a toutefois le cas de Mme Marie-Line Briens qui n’est pas à l’aise avec le système informatique. Il y a peut-être un manque de formation mais la possibilité que le système soit devenu trop compliqué et qu’elle ne possède pas les haptitudes pour le maitriser doit être envisagé. Est-elle à sa place? Nous manquons d’information pour en juger mais la compagnie devrait se pencher sur cette question.

- L’équité :

Toujours selon Fayol la justice résulte d’une combinaison de justice et de bienvaillance. Il manque au niveau de la compagnie un niveau de bienvaillance et de justice. Le rapport de M. Blanchette en est un exemple. Sous prétexte qu’il trouve que ses employés ne sont pas assez performant, il menace le renvoit. D’autre option plus équitable serait à envisager bien avant le congédiment. Fayol a des conviction très paternaliste en ce qui atrait à la gestion d’une entreprise. Avec les menaces de M. Blanchette on en est très loin.

- La stabilité du personnel :

Un personnel stable est un facteur déterminant dans les succès d’une entreprise. À la lecture du rapport de M. Blanchette on peut lire : « Elle a trois ans d’expérience dance ce métier ». L’employé en question aurrait autant d’expérience que ses collègues. Nous pouvons donc présumer que l’encienneté dans cette compagnie n’est pas très avancé. Il serait udicieux de ce pencher sur ce problème.

- L’initiative :

Fayol considère que la liberté d’initiative est un élément motivateur au sein des entreprise. Les compagnie doivent donner la possibilité aux employés de concevoir et mener à terme des plans. Il n’y a aucune mention de ce genre dans le cas Sécuriplus. Peut-être que la solution à la production décevante est parmie les employés.

- L’union du personnel :

Pour conclure, fayol utilise le dicton célebre : l’union fait la force. La direction d’une entreprise doit promouvoir la bonne entente entre employés et aussi soutenir une communication saine. L’union du personnel n’est pas évoqué dans le cas de Sécuriplus.

Selon les donnés fournis sur la firme Sécuriplus, nous pouvons voir que certains principes de Fayol sont respecté. D’autre serait par contre à amélioré. Nous n’avons toutefois pas assez d’information pour statuer sur les 14 principes généraux d’organisation. L’entreprise semble toutefois bien s’en tirer et n’est pas loin de respecter la majorité des principe de Fayol.

Question 3

Selon Hawthorne qui élabora beaucoup sur le mouvement des relations humaines, il y a quelque postulats a respecter. Il y a d’abord la division du travail. Comme illustré dans la question 1, la compagnie a bien diviser les tâches dans ces divisions. Aucune tâche ne semble entrer en concurrence avec une autre. Le rôle de chacun est de réaliser les buts de la compagnie.

Au niveau de l’administration de celle-ci, nous avons seulement les détails du rapport de M. Blanchette. La direction doit émettre des plans rationnel afin de ne pas perdre la confiance des employés. M. Blanchette réclame une performance plus importante de ses employés sans donner plus d’indication. Il serait plus judicieux de proposer un plan d’action et pourquoi pas impliquer l’ensemble de l’équipe dans la création de celui-ci?

Il est aussi important de savoir que l’argent et les réprimandes, ne sont pas les seuls facteurs influanceant les performance. M . Blanchette ne fait que réprimander ses employé et réclame une performance plus importante. Selon Hawthorne, plus la satisfaction des employé est atteinte, mieux est la production. Donc la direction devrait se pencher sur les besoins de ses employé afin d’atteindre ses objectifs. M. Blanchette doit jouer un rôle sociale et délaisser celui de directeur autoritaire.

Le modèle participatif est un outil très important afin de répondre aux besoins des empoyés. Il est important de comprendre que l’être humain est un animal social qui répond à des besoins précis. La pyramide de Maslow explique bien ses critaire. L’approche participative répond au haut de la piramide soit l’actualisation de soi. La compagnie ne semble pas impliquer ses employés dans le processus de décision. Comme décrit plus tôt, M. Blanchette réclame une production plus importante de ses employés. En utilisant le modèle participatif, il devrait s’ouvrir à des discutions de groupe et des décisions en groupe. Selon Lewin, les travaux

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