Travail d'infectiologie U.E 2.10
Par Andrea • 25 Juin 2018 • 1 202 Mots (5 Pages) • 503 Vues
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Formation du personnel :
Le diplôme d’état d’infirmier.
Un protocole de lavage des mains affiché au dessus du lavabo
Un protocole en cas d’Accident d’exposition au sang
Un protocole de technique de prélèvement veineux périphérique chez un patient.
Une sensibilisation à l’hygiène corporelle, et l’hygiène des mains organisée par le clin et la gouvernante de la société chargé de l’entretien des locaux.
Les risques infectieux :
L’utilisation d’une voie veineuse constitue un risque potentiel d’infection nosocomiale.
La bonne pratique professionnelle permet d’éviter des problèmes locaux : veinites, lymphangites, et des problèmes généraux : septicémie, endocardites, qui sont toujours gravissimes.
Micro-organismes identifiés
Risques de la contamination
Mode de transmission
Actions préventives / matériel utilisé
Bonnes pratiques d’hygiène
Respect des bonnes pratiques ?
Staphylocoque
Clostridium
Streptocoque
Pseudomonas
Haemophillus
Influenza
Streptocoques beta
Fièvre, douleurs abdominales, diarrhées, maux de gorge, céphalées…
Infection des plaies
Conjonctivites
Pneumonie
Lymphangite
Manu portée
Lavage simple des mains régulièrement au savon doux + friction hydro-alcoolique
Pendant 1 min
Lavage des surfaces le matin par les ash
Lavage simple régulier au savon doux et friction alcoolique avant et après l’acte infirmier
Lavage et désinfection régulièrement des surfaces de travail
Oui
Non/Lavage pas assez fréquent
Virus du VIH
Hépatites virales b, c
AES, contamination par le virus du sida
Contamination par le virus hépatique
Contact des liquides biologiques et des muqueuses
Port de gans à usage unique,
Utilisation des épicrâniennes à usage unique avec une sécurité
Utilisation de boîte à aiguilles.
Port de gans à usage unique,
Utilisations des épicrâniennes avec une sécurité et corps de pompe UU ,
Utilisation d’une boîte à seringue à changer régulièrement
oui
Remarque :
• Une des difficultés rencontrée réside dans le fait que les locaux sont anciens, le service est partagé sur deux bâtiments et il n’y a qu’une infirmerie, il faut donc traverser à l’extérieur avec le plateau de prise de sang. D’autre part, il n’y a pas d’ascenseurs et l’établissement ne peut pas s’équiper de chariot que l’infirmière pourrait laisser à l’extérieur de la chambre. Il est donc très important de bien préparer son matériel et ne rien oublier pour éviter les allers-retours entre la chambre du patient et l’infirmerie.
• Les infirmières prévoient une aiguille et un corps de pompe en supplément, ainsi s’il faut piquer deux fois en cas de mauvaises manipulations ou de veines peu apparentes, on a tout le matériel sur place. Toutefois, le matériel non utilisé est rangé et cela représente un risque de contamination par voie manuportée.
• Dans la chambre du patient, on ne dispose pas toujours de beaucoup de place pour poser le plateau. Il est préférable de le poser sur une table mais celle-ci n’est pas toujours très près du lit. Ainsi, on demande parfois au patient si on peut poser le plateau sur le lit. Dans ce cas, il faut s’assurer que le patient ne va pas bouger et faire tomber le plateau en mettant en péril toutes les précautions d’hygiène.
• Cette clinique reçoit des patients atteints de troubles psychiques avec de faibles risques infectieux, et le prélèvement veineux n’est pas pratiqué de manière régulière pour les patients. Ainsi le manque de matériel comme le chariot et les locaux pas très adaptés sont moins gênant que s’il s’agissait d’un acte pratiqué très souvent.
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