Sport et Immigration

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Un autre facteur peut être un frein de l’immigration, la religion. Celui-ci est primordiale dans l’intégration d’une personne à la société car des nations sont plus ou moins strictes sur ce sujet et donc cela peut générer des conflits dans le monde du sport.

Une culture / religion / nationalité différente est vraiment un facteur d’exclusion sociale dans le monde du sport avec l’exemple de la France Black Blanc Beurre de 1998 avec les marseillaises sifflées et tout cela mais en transition de la seconde partie, on peut dire que grâce à la victoire en 1998, la France a vu l’immigration d’un autre oeil et que les plus grands champions sont issus d’immigration. L’exemple de Zidane est un des meilleurs.

Outre ces freins de l’immigration et en les mettant de côtés, on peut voir que, en général, l’immigration a quand même un impact positif dans la vie de l’immigré puisque cela lui permet de fuir mais aussi de se créer une nouvelle vie plus propice à celle qu’il souhaite avoir, exemple un nouveau travail autorise dans le pays où il arrive, ou encore avoir des droits différents comme pour les femmes qui ne sont pas vus pareil partout dans le monde.

Mais pour revenir au sport, Patrick Mignon cite que « Dans sa fonction idéale, le sport est synonyme de justice et d’égalité des chances, de participation à la société, d’amélioration personnelle, de discipline individuelle et collective, morale et physique. Il contribue ainsi à la transformation de l’individu en citoyen et crée des modèles, des figures exemplaires ». On peut donc revenir sur les 3 champions, Zidane Riner et Platini puisqu’ils sont tous issus de l’immigration ou d’ethnies, ce qui nous renvoie au texte de Stéphane BEAUD « l’immigration dans le football », ou il est dit que pour réussir il faut y avoir la volonté de s’en sortir et pas atteindre que tout vienne à nous et comme dit, grâce au sport, ils ont réussi à se faire une carrière plus que mémorable et resteront gravés dans la mémoire des gens.

Donc là, on a plutôt des arrivées en France mais il existe aussi l’exemple inverse avec les départs de la France, comme par exemple Antoine Griezmann qui, en étant plus jeune, a quitté la France et rejoins l’Espagne pour le football. Tout en acceptant la politique, la culture et tout, il a su se faire une place au sein des clubs espagnols, tout en gardant sa nationalité française —> c’est une immigration qui tend vers le sportif, pas commune aux immigrations normales, car en France, il n’a pas été vu de la même manière pour le football et a réussi à percer dans un autre pays que le sien.

Des autres exemples en rapport avec le sport mais plus dérivés, existent, comme par exemple les contrats aidés qu’il n’y a pas dans tous les pays. Cela permet aux joueurs d’avoir un boulot tout en pratiquant, en faisant des actions pour la commune ou encore des sessions d’entraînements pour les jeunes et tout cela. Mais ce n’est pas tout, quitter son pays natal pour essayer de changer son travail mais en restant dans le même domaine. On peut utiliser l’exemple d’un professeur de danse de la Faculté qui a quitté la côte d’ivoire (il était directeur du ballet national) pour venir ici en France pour étudier ses méthodes ou encore sa culture.

Pour finir cette partie, l’immigration n’est pas quelque chose d’irréversible dans le football puisque même si on décide de venir dans un pays pratiquer, on a toujours le choix pour choisir l’équipe nationale avec laquelle nous voulons jouer si jamais ne nous avons les deux nationalités (du pays d’accueil et celui du départ)

En conclusion on peut dire qu’on a vu que l’immigration peut avoir beaucoup d’effets négatifs mais aussi des effets positifs qui permettent un changement de vie de l’individu. Donc en quelque sorte, le sport est vecteur d’intégration sociale MAIS il faut une certaine intégration pour atteindre le haut niveau car pour pouvoir survivre du sport, il faut vraiment arriver à un bon niveau parce que sinon à 30/35 ans, il faut tout recommencer et c’est compliqué quand on est issu de l’immigration.