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XVII siecle

Par   •  3 Novembre 2017  •  3 330 Mots (14 Pages)  •  443 Vues

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b. Après 1640 (la comédie s’engage dans une voie nouvelle, la voie espagnole, avec sa fantaisie, son comique verbal. Scarron est le meilleur auteur comique de cette époque)

c. Molière (Il fut le maître d’œuvre habile et dévoué des grandes fêtes du règne de Louis XIV, le créateur de la comédie-ballet)

Opéra = tragédie en musique = spectacle privilégié

Lulli = compositeur

Quinault = écrivain

Pierre Corneille (1606-1684)

Trois Discours

De l’utilité et des parties du poème dramatique

De la tragédie

Des trois unités

-Il a écrit : comédie, comédie héroïque, tragédie-ballet, tragédie.

-Pièces : Mélite, La Veuve, La Galerie du Palais, La Suivante, Le Menteur (comédies).

Clitandre (tragi-comédie), Médée, L’Illusion comique, Le Cid, Horace, Cinna, Polyeucte, Rodogune (mélodrame), Héraclius (mélodrame), Nicomède, Pompée, Œdipe, Sertorius, Sophonisbe, Agésilas, Attila.

-Action illustre, action extraordinaire, action sérieuse.

-Tragédie politique, passions nobles et mâles (l’ambition, la vengeance, l’honneur, l’amour du pouvoir)

-Système dramatique :

L’action est complexe

L’intérêt politique est très important

Provoquer l’admiration du spectateur

-Le héros cornélien :

âmes fortes

gloire= forme passionnée de l’homme

conflit cornélien, confrontation de l’amour avec l’honneur

l’amour est plus fort que tout

humanité héroïque et médiocre

pas de demi-mesures, il faut choisir entre la grandeur et la bassesse.

-La morale cornélienne (optimiste) :

Stoïcisme (parfaite maîtrise de soi)

Morale chrétienne (liberté de la foi)

Cartésianisme (raisonner et décider en toute lucidité pour se connaître)

-La Querelle du Cid

-Corneille bouscule les bienséances

-L’Académie rend alors se sentence : la pièce n’est conforme ni aux règles ni aux bienséances.

-L’œuvre de Corneille est fondée sur une morale généreuse. Ses héros sont des âmes bien nées qui renoncent à la vie, par amour, par amitié, par gloire.

-L’éloquence, la poésie, le symbolisme vibrant et la liberté par rapport aux règles caractérisent son art dramatique.

Pascal (1623-1662)

-Pascal, devenu janséniste, se persuada que le but suprême de l’homme n’est pas la vérité mais la sainteté.

-Pascal n’abandonna pas ses études scientifiques. Il distingue entre les sciences d’autorité (théologie), où toute la vérité se trouve dans les livres sacrés, et les sciences de raisonnement, où la raison et l’expérience conduisent à la connaissance. Cette distinction lui permit de concilier son activité de savant et sa vie religieuse.

Les Pensées

-Ce sont ces notes, recueillies après sa mort, que nous appelons les Pensées. Il s’agit de mille feuillets de dimensions diverses, rédigés parfois par les secrétaires et le plus souvent par Pascal, d’une écriture difficilement lisible : idées d’un mot, d’une phrase, références de lectures, confidences personnelles, passages spontanés.

-Parmi ces « principes d’erreur » qui faussent le jugement de la raison, Pascal insiste sur l’imagination, la coutume et l’amour-propre.

-Prémonition de ce que nous nommerions aujourd’hui, l’angoisse existentielle, l’ennui est, pour Pascal, le révélateur le plus indiscutable et le plus universel de notre misère.

-Mais, au sens pascalien, plus général et plus profond, le divertissement désigne tout ce qui détourne l’homme de découvrit son néant (di-vertere= se détourner de soi).

-La seule chose qui nous console de nos misères est le divertissement, et cependant c’est la plus grande de nos misères. Car c’est cela qui nous empêche principalement de penser à nous.

Molière

-Fondation de l’Illustre Théâtre.

-Il a exposé ses idées sur la comédie dans les Préfaces.

-« Plaire au public, la grande règle de toutes les règles ».

-Le public s’intéresse au naturel, au vraisemblable et aux analyses psychologiques.

-Son dessein : peindre la nature humaine, entrer dans le ridicule des hommes, les mœurs contemporaines.

-Sujets : hypocrisie, vicieuses imitations de la vertu.

-Les farces pures. Il retient les éléments traditionnels de la farce italienne et française. Renouvellement de la farce par l’observation de la vie. Mélange de bouffonnerie et de réalité.

-Morale sociale

-« Philosophe »

-Comédie d’intrigue + de mœurs + de caractères

Dénouements :

- reconnaissances

- stratagèmes

- dénouements surnaturels

- dénouements logiques et pessimistes

-Tableau de la société contemporaine.

-Peinture

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