Le personnage de roman, du XVII e siècle à nos jours
Par Raze • 6 Octobre 2018 • 2 438 Mots (10 Pages) • 570 Vues
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Les visions que l’on a sur cette guerre sont : les bruits, la violence des deux camps, la
description des armes lourdes et puissantes, et surtout le nombre de personnes touchées par celle-ci sans
oublier la description du nombre de guerrier désigné comme « la longue ligne de soldats ». Nous sommes
dans les conditions de guerre pure et dure, c’est-à-dire, la population touchée par celle-ci, la violence, pas
de pitié et surtout pas de questionnement sur le meurtre ou l’action que le soldat va commettre.
Ainsi nous pouvons constater que ces trois textes dénoncent évidement la guerre et se ressemblent beaucoup.
Je constate
que la violence, l’agressivité,
les soldats
par milliers,
la famille
et
les autres
personnes,
sont
nommés dans ces trois
extraits.
Cependant
avec
un degré
différent,
c’est-à-dire
que dans le texte
A,
le
personnage
d’écrit
ce qu’il
voit,
il n’intervient
pas vraiment
dans le texte.
Dans le texte
B,
beaucoup
de
remise
en question
sont
faites,
mais le personnage
principal, décrit ce qu’il
voit
et
agit comme
un soldat
tout
en se plaignant
aussi. Dans le texte
C,
tous
ces points-là
sont
vus mais différemment,
c’est-à-dire
que le
narrateur
décrit beaucoup
les actions et
les personnages,
il annonce l’action
comme
s’il
était
présent.
Donc
le
narrateur
est
comme
le commentateur
de cette
guerre
abominable. A noter
que ces trois
textes
font
référence
aux gradés
militaires
: maréchal,
militaire,
colonel…
mais nos héros
ne sont
que des novices.
2- Analyser les points de vue adoptés par les narrateurs : en quoi le choix de la focalisation sert-il la visée
de l’auteur ? (3 points)
Dans le premier texte, l’auteur a voulu faire ressortir les sentiments du « héros » ou « notre héros » qui
ne l’est pas dans l’histoire mais plutôt un « bêta ». Il insiste sur le fait que le personnage principal n’est
bon à rien et qu’il se plein et surtout qu’il ne comprend pas toutes les choses. Il agit de la mauvaise façon,
disons qu’il n’agit pas comme un héros. Un héros doit se comporter de façon héroïque, avec fierté et avec
de l’assurance, tout en sauvant des vies. Malheureusement, le jeune Fabrice Del Dongo n’agit pas du tout
comme cela, par exemple dans le texte, il a remarqué qu’un grand nombre d’habit rouge criaient avec
souffrance et pitiés qui ne demandé qu’à être sauvé, mais lui se contente juste de passer avec fierté sur
son cheval qui contourne avec délicatesse ces hommes aux habits rouges : « « Notre héros, fort humain,
se donnait toutes les peines du monde pour que son cheval ne mît les pieds sur aucun habit rouge ». En
plus de ce manque d’héroïsme, il se contenta de voir le feu en se le répètent avec fierté, pour se dire : « Me
voici un vrai militaire ». Ainsi l’auteur a insisté sur le fait que le jeune Fabrice Del Dongo agit avec naïveté,
impuissance, SANS héroïsme et avec un manque de réalisme. Ce n’est pas le même cas dans le second
texte car le narrateur a voulu montrer que le personnage principal (Ferdinand Bardamu) était un homme
qui n’a rien demandé à personne, qui s’est plié au choix de la nation c’est-à-dire faire la guerre, était obligé
de combattre
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