Vivre ensemble, le groupe en psychologie sociale, Dominique OBERLE
Par Andrea • 8 Décembre 2018 • 989 Mots (4 Pages) • 979 Vues
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Les décisions prises par des groupes détermine notre vie, d’où l’intérêt de comprendre les mécanismes de cette décision. Elles s’écoulent le plus souvent de l’unanimité, de la majorité ou de l’évidence de la vérité.
Ce que pensent, disent ou font les membres des groupes auxquels nous nous identifions exerce une grande influence sur nos propres choix. Ainsi, si les autres nous influencent, nous les influençons également.
Etre membre d’un groupe est constitutif de notre identité.
Pour le résumer : prendre les mots clefs les développer (celui qui lit doit être capable de les définir grâce au résumer)
Mots-clés : groupe, appartenance, influence, décisions, identité, majorité, psychologie sociale, phénomène de groupe
L’analyse critique du document :
Le groupe a soit une représentation positive et idéalisée, soit négative selon les événements qui le font se créer. Comme le dit l’auteur, il permet de surmonter les impuissances individuelles grâce à la mise en commun des énergies, des capacités et à la solidarité entre les membres.
D’après Kurt Lewin, le groupe se forme par l’intermédiaire d’un système d’interdépendance que l’ont peu illustrer avec un exemple du texte qui est celui des travailleurs dont les résultats de leurs activités sont meilleurs non pas par l’amélioration de leurs conditions de travail, mais par la constitution d’un groupe solidaire.
Dominique Oberlé nous dit également qu’un groupe se forme dans certains cas pour se comparer à un autre. En effet, que ce soit dans un groupe d’affinité (groupe d’amis) où nous nous comparons à un autre groupe du même type (particulièrement aux membres de cette autre groupe) ou que ce soit dans un groupe de travail, dans ce cas nous pouvons comparer nos travaux avec ceux d’un autre groupe. Il y a donc toujours au sein d’un groupe des comparaisons qui se font avec d’autres groupes.
Dans d’autre cas, le groupe se forme pour en contrer un autre. Nous pouvons ici prendre l’exemple tiré de l’analyse de la Révolution Française de Jean-Paul Sartres dans lequel le groupe d’insurgés s’est constitué suite à la famine pour s’opposer au groupe formé par le gouvernement.
Pour conclure, l’auteur dit une phrase très juste : « Et pour chacun de nous, être membre d’un groupe n’est pas secondaire, mais au contraire constitutif de notre identité. ».
Conclusion :
Ce document m’a plus, car il est directement en lien avec ma future profession. En effet, dans la profession infirmière, nous sommes amenés à effectuer des tâches au sein d’une équipe, d’un groupe de travail dans laquelle nous avons des objectifs communs. L’article est également en lien avec ma formation, car nous sommes chacun au sein d’un groupe, qu’il se soit créé par affinité, ou qu’il est été créé par l’équipe des formateurs pour effectuer des travaux et nous entraider pour avancer dans l’acquisition de nos compétences.
C’est un texte pertinent et atemporel, car les différents groupes sociaux existeront toujours, et ne cesseront d’exercer une influence sur leurs membres.
(SE MARQUER OU ON A TROUVE LE LIVRE POUR LE RETROUVER.)
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