Le poète sollicite la nature de pérenniser son bonheur passé
Par Raze • 10 Octobre 2018 • 1 866 Mots (8 Pages) • 930 Vues
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a) « Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! » Ligne 53
→ Pour montrer que le souvenir est partout dans la nature.
C.A. : (conclusion du paragraphe A) Les souvenir des moments heureux rester a jamais dans le lac.
B. (2e argument secondaire) Le poète se souvient des moments heureux
1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Champ lexical du bonheur
a) « adorés » (v.14), délices » (v.25), « les plus beaux de nos jours » (v.26), « heureux » (v.30), « aimons » (x 2) (v.35), « jouissons » (v.36), « bonheur » (v.40), « aimé » (v.66) etc.
→ Les moments de bonheur vécus par le poète
2. (2e preuve : (procédé + citation + commentaire) Champ lexical du souvenir
a) « t'en souvient-il » (v. 15), « fixer au moins la trace » (v.43), souvenir (v. 54)
→ Met en évidence le désir du poète de se rappeler son bonheur
C.B. : (conclusion du paragraphe B) Les souvenir et moment heureux de Lamartine
C.III. : (conclusion de la partie III) Le sentiment revécus de bonheur dans le lac.
CONCLUSION
- Confirmation : Que le passé heureux est perdu a jamais, que le temps en a effacé la trace, seulement la nature qui a été le témoin qui a peu reconstitue les moments heureux de celui-ci.
- Synthèse :
- Fuite du temps omniprésent dans le poème
- L’homme impuissant face à cette fuite de temps
- Le Bonheur passé
- Ouverture : Mon enfance a été remplie de beaux souvenirs passés au chalet familial. Chaque fois que je me repense à mes baignades dans le lac me rend nostalgique.
L’être humain est toujours à la recherche du bonheur, accomplir ses plus grands désirs. Au début du 19e siècle, un auteur Alphonse de Lamartine écrit un poème sur le bonheur passé. Le poème se nomme « Le Lac » dans Méditations poétiques en 1820 situées en France. Le courant et genre de ce poème est romantisme, un genre poésie élégie. La raison de ce poème est qu’il est inspiré pour son amour envers Julie Charles, qu’il sauve de la noyade à l’été 1816. Le poète sollicite la nature de pérenniser son bonheur passé. Dans ce texte, il sera question de la fuite du temps omniprésent, l’homme impuissant face à cette fuite de temps et le bonheur passé.
Tout d’abord, le temps est un élément clé dans ce poème. Celui-ci est sous d’autres formes par exemple : « Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges / jeter l'ancre un seul jour ? » (Ligne 3-4). Cette métaphore indique sous la forme d’une question par exemple qu’il n’est pas possible de jeter de l’ancre. Dût qu’il est impossible de le faire, on remarque qu’on ne peut arrêter le temps. Aussi, le temps est référé à l’eau : « le temps n'a point de rive / il coule » (Ligne 34-35). Cette métaphore, veut simplement dire que le poète Lamartine fait en sorte que le temps est assimilé à l’eau, aussi le fait que l’eau coule comme le temps qui s’écoule.
On remarque aussi, que la rapidité d’écoulement du temps est plutôt drastique, ce champ lexical de la vitesse le démontre : « rapides » (Ligne 26), « vitesse » (Ligne 43). Les enjambements nombreux dans ce poème semblent précipiter le poème et rende ainsi sensible pour le lecteur pour lui faire remarquer que le temps passe trop vite. Aussi, le poète laisse des traces dans son poème : « ce temps qui les donna, ce temps qui les efface » (Ligne 45). Cette antithèse démontre que le poème porte plainte de toute nature humaine, l’usage de la première personne du pluriel permet ainsi au lecteur de se reconnaître dans le cri de la douleur émit par le poète. Les mots utilisés et les pronoms donnent une perspective au poème sur la rapidité d’écoulement du temps. Ce poème semble évoquer la fuite du temps.
D’une part, on remarque que l’homme est impuissant face à cette fuite de temps. L’incapacité de faire changer les choses : « Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages » (Ligne 1) et « Dans la nuit éternelle emportés sans retour » (Ligne 2). Ce participe passé en d’autres mots veut dire que le poète indique qu’il est soumis au mouvement du temps. Également, une autre preuve vient le démontrer : « Mais je demande en vain quelques moments encore » (Ligne 30). Ce participe passé fait que le temps ne peut être ralenti. Donc, l’homme ne peut rien faire contre le temps.
En outre, le sentiment d’impuissance le démontre : « Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges » (Ligne 3) et « Jeter l’ancre un seul jour ? » (Ligne 4). En résumé, cette métaphore démontre que l’homme est un marin qui navigue sur l’océan des âges et voudrait jeter de l’ancre pour arrêter le temps, mais qui est malheureusement impossible. De plus, une autre citation l’appuis de l’impuissance du temps : « Le temps m’échappe et fuit » (Ligne 32). Cette métaphore, qu’il est impossible de savoir que le temps file, incapable de s’en apercevoir. Le sentiment d’impuissance face au temps. Que l’homme ne peut rien y faire face à la fuite du temps.
D’autre part, le bonheur est du passé dans ce poème. Le lac garde les souvenirs des moments heureux : « des flots chéris » (Ligne 6) et « flots harmonieux » (Ligne 16). Ce champ lexical des moments heureux, nous justifie que le lac est le cadre du bonheur passé. De même, que la nature aussi en garde : « Gardez de cette nuit, gardez belle nature, au moins le souvenir ! » (Ligne 53). Cette anaphore atteste le fait que le souvenir est partout dans la nature.
Bref, les souvenirs sont des moments heureux rester à jamais dans le lac. En outre, le poète se souvient de ces moments heureux, « adorés » (Ligne 14), délices » (Ligne 25), « les plus beaux de nos jours » (Ligne 26), « heureux » (Ligne 30), « aimons » (Ligne 35), « jouissons » (Ligne 36), « bonheur » (Ligne 40), « aimé » (Ligne 66) etc. Ce champ lexical du bonheur certifie les moments de bonheur vécus par le poète. De même, que le souvenir de Lamartine : « t'en souvient-il » (Ligne 15), « fixer au moins la trace » (Ligne 43), souvenir (Ligne 54).
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