Lahonta et Cartier, la vision du sauvage
Par Plum05 • 30 Août 2018 • 797 Mots (4 Pages) • 400 Vues
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Argument principal 3
Le « sauvage » n’est pas autant admiratif face aux actions des Français ainsi qu’à leur mode de vie européen.
Sous-argument 3.1
Sous-argument 3.2
Le « sauvage » est très admiratif envers les Français. Les Français semblent être supérieurs à celui-ci.
Adario, le « sauvage » ne semble pas admiratif envers les Français.
Illustration 3.1
Illustration 3.2
[…] «Et après qu’elle fut élevée en l’air nous nous mîmes tous à genoux, les mains jointes, en adorant celle-ci devant eux, et leur fîmes signe, regardant et leur montrant le ciel, que par celle-ci était notre rédemption, devant quoi ils firent plusieurs signes d’admiration, en tournant et regardant cette croix.» […] (l. 7-10)
[…]« Quelle peine trouves-tu d’approuver les contes des vieilles gens comme des jeunes ? N’as-tu pas la même contrainte quand les Jésuites et les gens qui sont au-dessus de toi disent des extravagances ? » ( l.18-20)
Explication 3.1
Explication 3.2
Cartier montre les Hurons comme en admiration devant lui. Le « sauvage » semble ébahi du mode de vie des Français.
Adario, n’est vraiment pas en admiration devant le mode de vie européen.
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Étape 2 : Rédaction de l’introduction
L’époque des grandes découvertes a été marquée par la découverte du Canada en 1497. Cette découverte attire les premiers explorateurs et grâce à leurs récits de voyage, nous pouvons mieux comprendre les premiers échanges entre les Français et les Amérindiens depuis la prise de possession du Canada en 1534. Dans Voyages en Nouvelle-France de Jacques Cartier et Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique du baron de Lahontan, peut-on affirmer que le « sauvage » est présenté de la même façon? Je crois que les Hurons
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