La réforme de l'orthographe

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Certaines des modifications sont jugées comme étant dangereuses. Par exemple, comme le souligne Jean Paul Sartre, l’orthographe déjà compliquée à la base entraine de l’incompréhension chez les enfants, les modifications seraient encore pire. Il évoque également le fait que toutes réformes peuvent entrainer une destruction de la langue française. Ceci est confirmé par l’autre de « L’école et les parents ». Danièle Manesse ajoute quant à elle que l’orthographe est ancienne et difficile, elle l’a considère carrément comme une science. Elle ajoute, par la suite, sur le fait qu’il y a un risque qu’il ne faut pas écrire les mots « comme cela se prononce ». Françoise Ploquin indique à son tour que les rectifications afin de faciliter l’apprentissage de l’écrit ont été rejetées. Elle ajoute que les manuscrits troublent les esprits. Ils sont trop anciens et donc remplis de fautes à l’heure actuelle. De plus, elle affirme que l’apprentissage des modifications liées à la réforme a un coût cognitif. La publicité sur le Bescherelle confirme ce dernier argument en prouvant l’absurdité de la réforme mise en place. De plus, Danièle Manesse indique que plusieurs pays ont ajusté les mots au fil de l’évolution des pays. Elle précise qu’en France, il n’y a pas eu de changement depuis trois siècles, ce qui rend l’acceptation très difficile.

Pour conclure, la réforme de l’orthographe connait des divergences d’opinion. La réforme est considérée comme quelque chose de positif pour certains, l’orthographe étant un patrimoine, il est fondamental qu’elle évolue. Cependant, d’autres la pense comme négative à la langue française. Pour certains, les modifications sont jugées dangereuses et destructrices de la langue, et demanderaient un fort coût pour l’apprentissage.