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Cours sur la mémoire, BTS tertiaire.

Par   •  7 Juin 2018  •  1 733 Mots (7 Pages)  •  388 Vues

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vont privilégier "l’histoire vue d’en bat" en effet ils vont privilégiés les minorités ethniques et raciales. Ça ne va pas être sans avoir des conséquences jusqu’en Europe, on va dès lors considérer que les sources orales sont plus vraies que les autres relations. la parole des témoins est donc reconnues plus vraie que celle véhiculée par les acteurs. On peut donc se poser la question si l’histoire orale est celle de la mémoire? Ce qui est important de comprendre est que la parole va être prise comme un témoignage historique enfin tout dépend de la personne qui interroge et en fonction de la personne qui interroge on aura un témoignage différent, on se posera donc la question de la valeur d’un témoignage? Des faux témoignages sur le 2nd GM on été recensés, Misha Defonseca avait fait paraître un livre d’une petite fille pendant la 2nd GM devant survivre avec les Loups (survivre avec les loups de 1997) , cette histoire est totalement fausse.

III) Les commémorations

On considère que en France il y a de plus en plus de commémorations, depuis 1999 il ta 12 journées annuelles de commémoration. Il y a tjrs de nombreux ministres qui pensent que en France il y a trop de commémorations, en 2008 un rapport demande de rassembler les commémorations en 3 dates : le 8 Mai, le 14 Juillet, et le 11 Novembre.

Le rôle de la mémoire était lit en cause , le nécessité de la transmission de la mémoire, au travers de ces trois dates.

8 Mai : Capitulation de l’Allemagne.

14 Juillet: 14 Juillet 1789.

11 Novembre: Armistice et fin de la 1ère GM.

Attention, en France en particulier il y a une forte demande sociale pour que la mémoire soit valorisée, et notamment on souhaite que l’histoire officielle reconnaisse ceux que l’on va reconnaître comme les oublieras de l’histoire se : les arquis dans les années 1960 (natifs algériens qui à l’époque de l’Algérie française sont des indigènes et s’engagent dans l’armée française, après l’indépendance de l’Algérie ils vont venir en France privilégiant la nationalité française de leur pays d’origine, ils n’ont jamais étés correctement accueillit en France malgré les promesses du gouvernement) , les Homos massacrés dans les camps de concentration.

Il peut aussi y avoir une demande politique, Valéry Giscard d’Estaing voulait supprimer le 8 Mai, il ne voulait pas faire honte à l’Allemagne, il a été ensuite rétablit par François Mittérand.

Le dernier Poillux est mort en 2008 mort à l’âge de 110 ans.

Les hommes politiques pensent parfois que le souvenir est la fédération des citoyens, les commémorations fédèrent-elles encore?

Certains citoyens trouvent qu’il y a encore du sens dans ses commémorations mais on peut distinguer notamment le deuil national du deuil institutionnel.

Le deuil national désigne le chagrin de la perte d’un proche par la guerre où lors d’un événement particulier.

Le deuil institutionnalisé, il s’agit de celui de la nation il est prit en charge par l’Etat , il s’affaiblit avec le temps. Le 11 septembre 2001 peut être considéré comme un deuil institutionnalisé dans la mesure ou aux USA les drapeaux étaient en berne etc...

Lors des attentats de Charly-Hebdo il y a eu une deuil national, mais aussi institutionnel les deux ont marchés ensemble .

On peut aussi se poser la question concernant les commémorations , est ce que ça fragilise la nation? En France notamment on se pose régulièrement la question et on se retrouve souvent avec la question de se remémorer une journée particulière (chaque groupe social). Le rôle de l’état est de veiller à la cohésion des citoyen et aux conditions de vivre ensemble. L’état est particulièrement vigilant.

Il y a quelques lois mémorielles , la France a fait voter dans la Loi afin de s’assurer que l’on n’oublie pas certains évènements.

La loi Gayssot de 1990, loi promulguée sous François Mittérand c’est une loi qui prescrit le délit de négation (loi qui interdit aux gens que les camps de concentrations n’ont pas exister ...), le théoricien du négationnisme à la fin des années 1960 début des années 1970 à décrété par antisémitisme que les camps de concentrations n’avaient pas été exister.

La loi de 2001 qui reconnaît le génocide arménien.

La loi Tobira de 2001 , loi qui reconnaît l’esclavage contre l’humanité.

La loi du 23 Février 2005, loi faite pour reconnaître suite à l’indépendance de l’Algérie la plus grande partie de la population française vivant en Algérie, cette la loi reconnaît la nation et la contribution nationale. Cette partie de la loi a été abrogée car ça sous entendait que la colonisation française était quelque chose de positif. Toutefois cette loi de 2006 à été l’objet de nombreuses réactions d’historiens car en fait les historiens ont dit à l’épique que l’histoire ne se décrète pas par la loi, ce n’est pas à l’état de se substituer aux historiens dans le travail.

Qui choisit le nom des rues? Aujourd’hui un nom de rue c’est une délibération du conseil municipal qui va s’entendre sur un nom de rue à donner quel qu’il soit. Le maire ne peut pas choisir seul le nom d’une rue. Les noms de rues apparaissent essentiellement au 17ème siècle, en fait on va donner notamment à Paris des noms de rues pour rendre hommage, des noms de rues proviennent aussi de certains métiers etc... Petit à petit

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