Commentaire composé Ziméo de Saint Lambert

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b) Ziméo, un rebelle noir

Puis Saint Lambert nous fait le portrait de Ziméo représenté comme un rebelle noir, on peut le voir ligne 476 « J’étais déterminé à m’ôter la vie » il n’a pas peur de se sacrifier pour sa famille. On voit aussi que il y a des métaphores montrant la haine de Ziméo envers les négriers, ligne 478 – 479 « Mes pensées étaient barbares », ligne 480 – 481 « Des hurlements sourds, semblables au rugissement d’un lion fatigué du combat » et à la ligne 483 « Mes mains furieuses », tout ceci nous montre que Ziméo se révolte contre les idées de négriers et qu’il éprouve de la colère et du mépris envers eux. Ensuite, Ziméo raconte comment il fut traité lorsqu’il était attaché dans un des bateaux des blancs, ligne 489 – 491 « J’y fus garrotté et placé de manière que je ne pus attenter à ma vie ; mais on ne pouvait pas me forcer à prendre de la nourriture », il aurait voulu se suicider pour ne pas servir d’esclave ce qui est une preuve de rébellion, il faisait aussi une grève de la faim pour contrecarrer les plans d’esclavages qu’avaient en tête les négriers. Ziméo n’avait pas peur des blancs, il n’hésitait pas à le montrer, ligne 493 – 494 « Je résistais à tout » tout ce que les blancs infligés à Ziméo, cela renforcer son désir de vengeance. Puis, il évoque le fait qu’il n’a pas perdu espoir, ligne 502 – 503 « Il réveilla dans mon cœur les idées de vengeance, et les espérances de l’amour » il veut se rebeller contre l’esclavagisme des blancs puis il précise qu’il faut qu’il retrouve sa famille, ligne 504 – 505 « Je me suis déjà vengé, mais il me faut retrouver les idoles de mon cœur : il le faut, ou je renonce à vivre » il exprime ce désir par une répétition de « il faut ». Ziméo est déterminé dans sa rébellion contre les noirs, le fait qu’il veut retrouver sa famille anime la haine qu’il éprouve envers les noirs.

Conclusion : L’auteur dénonce par l’intermédiaire d’un personnage fictif l’esclavagisme des noirs par les blancs et comment les noirs étaient traités. Les blancs n’avaient aucune pitié et déchiré des familles entières. Certains noirs résistés à cet esclavagisme et étaient rongés par la haine et le mépris.