Un récit ancré dans un décor réaliste et des circonstances historiques
Par Raze • 8 Mai 2018 • 4 883 Mots (20 Pages) • 573 Vues
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Après la première partie de Bel-Ami[9], les lieux publics comme les restaurants, les cafés disparaissent, cèdant une place à des lieux clos et « élévés », qui sont privés pour les personnes de la classe plus haute. On remarque que le procédé de la diminution de l’espace est un progrès de la classe sociale pour Duroy. L’ascension sociale de Duroy est assez rapide, quand il rencontre son ancien camarade dans la rue parisienne, dans l’espace initial de son projet. Il s’invite à « entrer » dans le salon des Forestier et il gagne toute de suite un emploi de journaliste. Et il y a un type du lieux représenté son ascension sociale, les salons avec les trois femmes, Mme de Marelle, Mme Madeleine, Mme Walter. Sa réussite est inscrite par les trois déplacements espaces : l’abandon de la résidence de Mme Marelle, l’entrée dans le salon de Mme Madeleine, et le mariage à l’église avec la fille de Mme Walter. L’occupation du salon de Mme Walter témoigne sa réussite au sommet du carrière et son mariage avec Mademoiselle Suzanne clôt l’histoire. Une fois que Duroy conquiert, il entre dans une résidence nouvelle et féminine. Derrière les espaces verticaux conquierts par Duroy, c’est les pouvoirs conquières qui présentent une vraie domination dans la sphère de sa carrière professionnelle. Du surcroît, la rapidité du déplacement de la résidence de Duroy rythme l’histoire. Chaque réussite se passe avec le même moyen. Maupassant propose une lecture verticale à son lecteur à sa guise. A travers le changement de l’espace, les lecteurs peuvent entreprendre d’une lecture structurale. Ils révisent le récit en comparaison de l’espace récurrent et l’espace distingué.
Pour Boule de suif[10], le déplacement d’espace c’est plutôt limite. Néanmoins, Maupassant écrit la diligence comme une société minimale en termes de l’hierarchie sociale : les commerçants du vin, les bureaucrates, les religieuses, les femmes mariées, et la prostituée. Un mimèsis d’une société par un espace minimal provoque une réaliste ironique. L’hierarchie construit un espace semblablant à une société. Cette histoire se déroule en France qui s’est progressivement occupée par les ennemies. Maupassant a une volonté de choisir un espace relativement limit, concurrent au terrain étendu de Rouen. Ce contraste dévoile dans la littérature de la guerre une occupation cruelle des ennemies. La diligence évoque la cause de la fuite de ces personnages dans l’histoire à cause de la défaillance de l’armée française. Le manque de description sur la ville Rouen est aussi du à la ruine après la guerre, il n’y a rien à décrit. Par conséquent, le défi de l’écriture est comment l’auteur décrit le vide par le viede. Les phrases courtes « La vie semblait arrêtée ; les boutiques étaient closes, la rue muette[11] » donnent une impression générale que la vie s’est dégradé. Une moment de pause au début de l’histoire, on voit un témoignage de la situation catastrophique après la guerre : « des lambeaux d’armée en déroute avaient traversé la ville[12] ». Et le narrateur, en d’emblée en disant « voyant » nous assigne une vue précise sur la ville après la guerre. Le pronom impersonnel « on » élargit l’étendue du témoin, le narrateur invite le lecteur à voir les misérables. On ne lit pas les paysages pittoresques de cette ville, puisque tout est rempli par les blessés. Une vérité du témoignage sur cette tragédie s’accuse par la scène pathétique des blessés « pliant sous le poids du fusil[13] ».
B. L’affirmation de réel par à rapport à la vie de Maupassant à Normandie et à Paris
Dans les deux oeuvres, Maupassant construit les deux protagonistes dans les villes culturelles vraisemblables, tantôt à l’égard de lui-même, tantôt autour des connaissances des lecteurs. Boule de suif et Duroy sont les « personnage-témoin » qui paraissent dans les scènes. Parce qu’on trouve une confusion entre ce que les personnages voient et ce que le narrateur raconte. Grâce à l’expérience personnelle de Maupassant, l’auteur prête sa vue à son personnage en vue de laisser l’histoire plus vivante et plus convaincante. Si les caractères sur les personnages servent à démontrer la personnaglité de la personne, on dirait que les espaces sont les décors pour le déroulement d’une histoire plus vraisemblable.
On sait que la guerre franco-prussienne a lieu en 1870, le père de Maupassant lui trouver un emploie dans l'intendance à Rouen. Il est véritablement le témoin oculaire de cette guerre. Dans Boule de suif[14], il attache son experience personnelle à la redaction de l’histoire en vue de justifier la vérité.
Une affirmation sur l’espace réel en Normandie par l’expérience personnelle d’auteur mérite être appréhendée sous des aspects différents. Une précision du nom de la rue en Normandie apparaît dans l’occupation de l’armée allemande. « Puis, un peu plus tard, une mse noire descendit de la côte Sainte-Cathérine, tandis que deux autres flots envahisseurs apparaissaeint par les routes de Darnétal et de Bois-Gauillaume. Les avant-gardes des trois corps, juste au même moment, se joignirent sur la place de l’Hôtel-de-Ville[15]... ». Le procédé de la toponymie justifie la vérité événementielle. Les précisions topographiques assurent les ancrages réalistes, et produit une langue économique sur la description. Plus on connaîtrait, plus on serait réaliste, et l’auteur réaliste set un grand lecteur d’encyclopédies[16]... Une autre affirmation plus imprudente, c’est l’affirmation par la cuisine normande. C’est un extrait du moment où Boule de suif partage ses nourritures avec les autres. « Elle prit une aile de poulet et, délicatement, se mit à la manger avec un de ces petits pains qu’on apelle Régence en Normandie[17]. » La présence de la cuisine de Normandie laisse l’histoire plus « exacte ». Le lecteur trouve la similarité dans la vie réelle. C’est la raison par laquelle le lecteur trouve toujours que l’histoire est plus vraie que la réalité. Dans Boule de suif, la ville Normande se manifest différement de celle dans les autres ouvrages, elle saute paritellement aux yeux des lecteurs en ruine. « Le tremblement de terre écrasant sous les maisons croulantes un peuple entier ; le fleuve débordé qui roule les paysans noyés avec les cadavres des boeufs et les poutres arrachées aux toits, ou l’armée glorieuse massacrant ceux qui pillant qu nom du Sabre et remerciant un Dieu au son du canon, sont autant de fléaux effrayants qui déconcertent toute croyance à la justice éternelle, toute la confiance qu’on nous enseigne en la protection du ciel
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