THERESE RAQUIN
Par Orhan • 24 Janvier 2018 • 1 167 Mots (5 Pages) • 1 162 Vues
...
regard de « Madame Raquin, roide et muette, ne pouvant se rassasiée les yeux, les écrasants de regards lourds. »
Après avoir abordé tous les aspects littéraire employés par Emile Zola dans Thérèse Raquin, je pense que la problématique suivante a une réponse bien concrète :
Thérèse Raquin d’Emile Zola est-il seulement un roman naturaliste ?
Et bien, non, Thérèse Raquin est un roman tout autant naturaliste que fantastique que policier, ce sont trois genres littéraire qui jouent un rôle majeur dans ce roman, pas seulement le naturalisme.
Le naturalime au XIXème siècle a prosperé sous la conduite d’Emile Zola qui illustra son mouvement littéraire par un roman : Thérèse Raquin, qui fût un objet de scandale lors de sa parution en 1867. En effet, appliquant les preceptes naturalistes figurant dans la préface de la seconde édition de Thérèse Raquin, le livre heurta la sensibilité des contemporains et révèle les éléments policiers et fantastiques portés par les rôles littéraires des romans apportés par les héros Laurent et Thérèse.
Le livre Thérèse Raquin d’Emile Zola est-il seulement un roman naturaliste ?
Pour se faire nous allons décrire le naturalisme, montrer les éléments du fantastique et pour finir, le recours à l’intrigue policière.
Tout d’abord, dans la Partie Première nous allons définir le naturalisme et ses limites puis nous parlerons de l’application du naturalisme dans le roman de Thérèse Raquin. Nous allons aussi observer le fait qu’Emile Zola ait une vision scientifique en abordant la physiologie des tempéraments plutôt que des caractères.
Pour commencer, Emie Zola a dit vouloir « chercher en un homme puissant et un femme inassouvie, une bête » et ne vouloir voir que la bête. Il sous-entend définir le naturalisme comme une « analyse scrupuleuse », il veut dire qu’il analyse profondement l’étude de cas « comme des chirurgiens font sur des cadavres », de manière réaliste. D’apès mes recherches, je me suis appuyé sur une définition interessante du naturalisme disant que son but est de renforcer certains caractère du réalisme et à pouvoir vérifier le rôle de ce caractère des nécessités sociaux et biologiques. Cette définition renforce la vision qu’à Zola face au naturalisme.
Ensuite, dans la préface de la seconde édition nous avons pu remarquer que d’une certaine manière, Emile Zola relève le champ lexical du vocabulaire de la médecine :
« Leurs nerfs » (l.4), « leur sang » (l.4), « les détraquements cérébraux » (l.8), « une crise nerveuse » (l.9), « du système nerveux » (l.15) et bien plus encore.
De plus, on peut penser qu’Emile Zola introduit le naturalisme en faisant référence à la Science : il parle d’un désorde organique en parlanr de « contentement d’un besoin », il décrit un « rebellion du système nerveux » et tout cela à un « but scientifique ».
Zola confronte la sciences contre la littérature : « j’ai simplement fait sur deux corps vivants le travail analyptique que les chirurgiens font sur des cadavres », il utilise une antithèse en employant ’’ deux corps vivants’’ et ’’des cadavres’’.
Cet ecrivain a un certain nombre d’arguments ’’scientistes’’ mais la mise en œuvre reste littéraire car la littérature domine la démarche littéraire bien loin de la science, quelques arguments : pour parler de la littérature, il introduit des faits inventés, des personnages, des milieux, des description, de la narration, des caractères hérités etc... tandis que pour la science, il ne fait que quelque observations, des faits réels, des analyses, des interprétations, des lois générales...
Pour finir, on peut dire que le naturalisme est réspécté mais, certaines notations fanatastiques sont perspéctibles donc, quels sont ces éléments fantastiques perspéctibles ?
...