Question sur réécritures de Bérénice

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Dans le texte C, Lisa apparaît comme orgueilleuse, et ne veut pas pardonner Gilles « Lisa rejeta sa générosité », elle culpabilise « je t'ai fais trop souffrir » et provoque un sentiment de pitié au spectateur.

Une separation douloureuse :

Dans tout les textes les personnages sont tous concernés par la séparation. Le point commun et qu'a travers ces trois extrait de pièces de théâtre on retrouve le champ lexical de la souffrance « tourments » « cruel » « triste » (Bérénice) « empoisonner » (la musica deuxième) « souffrir » « souffrance » (Petits crimes conjugaux). Dans « Bérénice » de Jean racine on peut retrouver le vocabulaire de la séparation « absence » « adieux, « s'éloigner » « perdus » et même « séparer ». Ici, le futur simple est employé, ça nous laisse penser que Bérénice imaginait un futur à sa relation avec Titus « je n'aurais pas », « vous verrez ». L'hyperbole « souffrance éternelle » intensifie la souffrance de leur séparation. De nombreuses phrases nous ramènent à la douleur cette séparation :

« que le jour commence et que le jour finisse, sans que jamais Titus passe voir Berenice », « Ces jours si longs pour moi lui semblent trop courts. La tirade de Berenice relèvent encore une fois le coté dramatique de l'extrait (tragique).

Dans « la musica deuxième », la femme est très silencieuse ce qui du point de vue de certain rend le dialogue encore plus tragique. Il y a a aussi des didascalies « ne répond pas » qui rendent le récit encore plus triste . L'homme vient au point de supplier la femme de rester avec lui, « Reste en France qu'on puissent au moins se rencontrer même par hasard » cette phrase rend le personnage pathétique.

Il y a aussi des nombreux points de suspension qui contribue a l'atmosphère triste. La description de la mise en scène contribue a créer une atmosphère sombre et douloureuse « elle devient une pénombre »