La question de l’homme dans les genres de l’argumentation, du XVIe à nos jours.
Par Orhan • 25 Octobre 2017 • 610 Mots (3 Pages) • 1 075 Vues
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Métaphores.
Ironie.
Vocabulaire.
Mélioratif => éloge de Zadig.
Péjoratif => blâme.
Constructions…
P. complexes dominantes => explications.
Registre, tonalité.
Ironique, satirique.
Conciliation du lecteur.
Arg° indirecte.
Citations.
"Zadig (...) crut qu'il pouvait être heureux." (L. 21-22) Genre.
Conte philosophique.
Synthèse.
L'extrait dresse le portrait d'un être parfait, Zadig, en mettant en place les caractéristiques et l'enjeu du conte philosophique et en prenant une dimension critique voire moraliste, dans la droite ligne du mouvement des Lumières et défendant quelques valeurs des Lumières.
Plan.
- (II.)Un personnage parfait / Un être idéal : le Philosophe.
- Une perfection universelle / héros éponyme.
Physique / Morale/ intellectuelle 02. Un personnage prétexte (support).
Zadig reste un être de papier, sans atteindre l'épaisseur d'un personnage de roman : sa description, pour élogieuse qu'elle soit, ne permet pas de se le représenter. Le personnage est une marionnette qui présente deux caractéristiques principales : la perfection et le manque d'expérience, qui servent le dessein de VOLTAIRE. Il s'agit de plonger un personnage plaisant dans des situations, sans se préoccuper aucunement d'une quelconque cohérence, qui abordent chacune un thème de réflexion ou de critique. Le personnage constitue alors un prétexte pour railler la justice, dénoncer une société futile et susciter un questionnement sur la religion par exemple.
- (I.) L'incipit d'un conte philosophique
- Les éléments du conte traditionnel.
- L'enjeu et projet philosophique.
- Un récit plaisant.
Pers attachant / Oriental / Dépaysement Ironie de VOLTAIRE.
=> adhésion du lecteur
- Les valeurs des Lumières ( et de VOLTAIRE).
- Eloge du philosophe des Lumières.
- Visée critique (contestation).
- Visée moraliste / blâme en creux.
Le portrait de Zadig permet aussi de fustiger des défauts humains comme la légèreté des femmes, l'inconsistance des courtisans et la vanité des savants. Le passage prend alors une dimension moraliste, qu'accentue le blâme en creux que contient forcément un idéal humain : si Zadig est généreux, humble, sincère, honnête..., alors les hommes sont mesquins, vaniteux, hypocrites, malhonnêtes... 04. La défense des idées ( Propagande)
05. La littérature arme de combat.
Critique / propagande / moraliste.
Bon courage !
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