Méthode de la question de corpus

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On reformule la question posée et on annonce ensuite son plan .

Comment fêtons son plan ?

En examinant la question posée, on peut voir se dégager souvent soit clairement soit implicitement un cheminement. Parmi les plans les plus utilisés, si on arrive pas à trouver des sous question dans la question posée, on peut utiliser celui-ci :

1) un thème commun pour les auteurs que l’on identifie

2) distinction dans le traitements du thème entre les auteurs

Quelles sont les pièges habituels pour l’introduction ?

–De rédiger une introduction trop long ( une demi page) en racontant les textes ou une introduction trop courte en oubliant les éléments nécessaires

–De parler des textes en oubliant que ce ne sont que des extraits ( on dira ainsi qu’on a «  extrait du roman de Flaubert, l’éducation sentimentale paru en 1869 ; plus précisément ici un passages tirés de la seconde partie » et on ne dira pas qu’on a «  Roman de Flaubert, l’éducation sentimentale ». La différence peut vous paraître minimes mais elle est très importante aux yeux du correcteur.

–De ne pas souligner les noms des havre, de se tromper en recopiant les titres d’Havre, les noms des auteurs et les dates.

Quelles sont les pièges pour le développement et la synthèse ?

–De ne pas mettre les textes à égalité et d’en traiter certains plus que d’autres, voir dans laisser certains carrément de côté

–De raconter le texte sans isoler les arguments.

–D’oublier de citer.

–De si t’es trop longuement et sensible et les citations.

–D’oublier d’indiquer les effets et les procédés utilisés par les auteurs.

À quoi reconnaît ton un bon développement ?

À ce qu’il équilibre de l’analyse , les citations, la connaissance des procédés et qu’il traite tous les textes de manière égale

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Bien dit que ton dans la conclusion ?

On récapitule en une phrase avancée du devoir (« Nous avons donc montrer que… » ) et on ouvre sur une question finale qui élargit la question posée au début.