Le voyage

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"essai sur l'exotisme" l'idée de l'exterieur ou de l'autre est malheureusement bien souvent trompée par des stéréotype prejugés ou autre mythe venue de l'ailleur.(citation)

D'apres l'explique Lacarriere dans ses recits lors de ses voyage en crete, il est preferable de se detacher de nos idéologies culturelles a nos racine afin de laisser place

a un regard nouveau, pret a acceuillir les richesses d'un nouveau comme personne les a jamais vu. Lacariere parle d'une "renaissance", il vient a l'esprit que partir c'est en

quelque sorte mourrir l'acquisition d'une connaissance a la sources change notre regard sur l'autre loin de tout prejugé.

Sortir de chez soi loins de ces racines, nous permet de prendre conscience de l'autre mais aussi de nous delivrer d'une visions nombrilique, egocentrique c'est a dire etre enfin

capable de recevoir et de donner. Notre degré de tolerence ne cesse d'evoluer car en effet les stereotypes, prejugés ou tout autre "idées prefixe" qui viendraient ce coller a notre

objectif peut affecter notre aprehension de l'autre.

Prenons plutot l'exemple du Prince Siddartha autrement appelé Bouddah, ce dernier a l'age a 29 ans decida de voyager hors des limites du royaume pour la toute premiere

fois, il y decouvrit la pauvreté, la maladie, la verité. Cela lui eprouva beaucoup de reflexion a propos d'une verité lointaine il s'engagea a faire un second voyage dans lequels il

rencontra un vieil homme errant hors de la cité, vetue d'un drap jaune, abimé par le temps puis d'un unique baton qui lui servait d'appuit. apres quelques instant d'observation

Siddharta vint a le questionner sur sa vetusté.

le vieil homme repondu qu'il n'en pouvait plus de cette vie bercer de moeurs poussant a la quete de toujours plus.. que pour lui reufser tout

acquisition materielle etait le meilleur moyen de trouver la liberté a l'etat pure. Apres une longue nuit de reflexion bouddah chargea que tout ces biens soit renvoyés chez son pere, il prit

son épée ornée de pierre precieuse et se coupa les cheveux et rasa la barbe parti dans la foret enfilé un drap jaune, symbole de liberté premier ascete bouddhiste.

Le voyage est a la foi une quete de verité mais aussi une quete de liberté. Ainsi ce sont formés des "ecoles de pensée"

Et pourtant malgré l'ouverture d'esprit sur le monde, de nos jours il existe encore des mefiances vis a vis du voyageurs en lui meme, Les goupes racistes par exemple qui restent fermer

dans leurs idéologies nourrissant leur mepris en s'endoctrinant les uns les autres sans jamais se remettre en questions sur soi et sur l'autre sans non plus prendre le temps d'un contact,

un echange humains hors des siens. C'est de ce fait que de nombreuses imcomprehension et mauvaise images sur l'inconnu se forment, qui finit par un rejet parfois envenimer de mepris par

un sentiment de peur. Encore aujourd'hui, on attribut de pouvoirs malefiques aux tzigane, les voyageurs. Ils serait capable de lire notre avanie dans les lignes de nos mains ou bien encore

voir l'avenir a travers une boule de cristal ou encore un jeux de cartes ancien, le tarot. Comment peut-on reellement avancer qq chose ou poser une reflexion sur ce que l'on ne

connait pas ? Nul ne peut evoluer, s'il reste enfermer chez soi.

Autrefois les occidentaux pensaient la terre plate, et craignaient de tomber dans le vide en passant la "limite", cette crainte fut balayer lors des premieres expeditions.

Le recit d'un voyage peut etre un excellent moyen de partager l'ailleur mais peut aussi etre facteur d'une culture de masse et d'un developpement de stereotype, ce qui de ce

fait enleve en qq sorte la magie liée a la decouverte de l'inconnu. La sensation de surprise est helas amorcée mais n'en est point effacée.

Etre capable de s'ouvrir au monde c'est etre capable de recevoir un savoir authentique venue d'ailleurs,

Le voyage est apprentissage universel.