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Le mal Rimbaud cas

Par   •  8 Mai 2018  •  1 435 Mots (6 Pages)  •  503 Vues

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Vian utilise donc le registre pathétique, le procédé dilatoire

On remarque le dérisoire de la situation, les mères paye dieux alors que leurs enfants sont deja mort, ele n’ont même plus de mouchoirs pour pleurer

On remarque la réalité de la vie ; la pauvreté de ses soldats (les plus riches soldats pouvait payer les plus pauvre pour combattre a leur place) jusqu’en 1905 service militaire obligatoire) CONSPIRATION : tirage au sort

On entend pleurer les mères « mm » « mères, ramassées »

II) L’engagement du poète

- L’attaque à l’état

Rimbaud insiste sur le mépris des dirigeants, qui se moquent de la vie humaine, il utilise pour cela de nombreux thermes péjoratifs « tas fumant » v6 qui renvoye au tas de fumiers

Il utilise la métaphore « crachat rouge » au vers 1 ( qui se situe en plus a la césure du vers> importance, cela renforce encore plus le dégout de la guerre qui se veut sale, dégoutante

La présence de l’hyperbole « folie » situé encore une fois à la césure du vers, 5 reforcer par le mot hyperbolique « épouventable » montre grace à ce mot court et percutant que la guerre n’est qu’un « délir »

Il y a aussi une forte présence de pluriel hyperboliques

Rimbaud fait une critique du roi qu’il met dans une posture scandaleuse : celui-ci ne participe pas au combat, on constate même qu’il est protégé par les virgules au vers 3, c’est le chef d’état, représentant des guerres, il lui met une majuscule pour faire naitre l’ironie

Il le représente comme un roi détaché/ un planqué qui ironise en regardant tomber les soldats, on l’entend rire, se moquer grace a une harmonie immitative au vers 3 : « rr »= c’est le rire des méchants, des cruels

- L’attaque à la divinité :

Il attaque Dieu dans les tercet, il dénonce le fait que l’église est complice et causionne les descision cruel du roi

Elle devrait être charitable mais Rimbaud la présente de manière complètement contraire : Dieu tire profit de la guerre, il ne cherche qu’a s’enrichir, il est cupide

Le roi est protégé par des virgules mais Dieu l’est encore plus «-» et « , » au vers 9

Il a une attitude encore pire que le roi, il « rit » au vers 9, il a un rire sournois, sardonique qu’il ne cherche pas à cacher

Rimbaud rend ce Dieu insignifiant ; il le réduit à 4 monosyllabe ; relativiser par l’article indéfini « un »

Le contre rejet interne accentue tout les procédés au v9

La lourde expansion au premier tercet créé un déséquilibre et rend donc ce Dieu « bancal », suspicion, dissonant, sournois : Rimbaud cherche à attirer l’attention sur ce Dieu = quelque chose cloche, effet de lourdeur pour montrer que Dieu penche du coté du Mal, que ce n’est pas un Dieu normal

Il montre justement un Dieu sensuel, cupide, indifférent « rit »v9, « calices d’or » v 10 qui se réveille au son de l’argent

L’hyperhypotax traduit l’atmosphère lourde, pesante du luxe = l’Eglise s’enrichie de la guerre, de la misère (Comme dans le poème de Vian )

Rimbaud, poète engagé : La présence du poète

L’auteur est présent dans la parenthèse (dialogue) des vers 7, 8, on le remarque par la présence de phrases exclamatives, apostrophe « O toi » v8

Il est présent grâce a la modalisation ou il porte un regard double : il feint de se mettre dans le regard du roi, qui possède une réaction odieuse, déplacé, moqueuse envers les soldats = c’est un faux regard

Vian décrit une guerre scandaleuse dans une harmonie universelle puisqu’il utilise la couleur rouge symbole de destruction, de guerre en opposition à la couleur bleu symbole de paix

Dans la parenthèse au vers 7,8 l’énonciation, nature, mort, compassion, il s’exclame modalisation

La guerre vient donc violenter la nature

Pour Vian la nature est symbole d’équilibre, d’été, de vert, joie qui renvoye à l’euphorie de fertilité et de chaleur

Alors que la guerre n’est que destruction froideur obscurité= diasphorique

Porter critique la guerre tue tout ce qui est saint (dans la nature)

Poésie engagée, militante

Opposition du front et de l’arrière

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