Langue et littérature française : la poésie

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Je suis…………………………………

Lorsqu’une phrase dépasse les limites d’un vers, l’enchaînement des unités rythmiques se fait alors sur plusieurs vers. Le rythme ne doit pas être analysé sur un seul vers, mais bien sur deux ou trois.

On parle de moi lorsque les limites du vers sont supprimées, ainsi que la pause qui marque la fin d’un vers, mais bien sur deux ou trois.

Je suis

…………………….....

On parle de moi quand un élément d’un groupe syntaxique, étroitement lié par le sens à un vers, est rejeté au début du vers suivant. Je mets en valeur l’attaque du vers.

Je suis

……………………….

Je suis le phénomène inverse du précédent : le premier élément syntaxique est placé à la fin du vers. Je mets l’accent sur la rime àla fin du vers.

Je suis………………

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IV- Les rimes

Répondez aux questions ci-dessous.

Qu’est-ce qu’une rime ?

Quand est-ce qu’une rime est appelée féminine ?

Masculine ?

Reliez convenablement.

Dans une strophe, les rimes obéissent généralement à une certaine disposition.

Les rimes sont plates * * quand une coupe de vers rime à l’intérieur d’un autre (ABBA).

Les rimes sont croisées * * quand elles s’intercalent (ABAB).

Les rimes sont embrassées * * quand elles se succèdent deux par deux (AABB).

La richesse de la rime est déterminée par le nombre de sons identiques.

Une rime est riche * * lorsqu’elle renferme un son identique (levé et tirer).

Une rime est suffisante * * lorsqu’elle comprend plus de deux sons identiques (mémoire et grimoire).

Une rime est pauvre * * lorsqu’elle comprend deux sons identiques (fâche lâche).

V- Les sonorités

La musicalité d’un poème transparaît au travers d’une harmonie sonore, qui suggère un bruit, une impression, un sentiment.

Complétez le tableau ci-dessous.

La sonorité

Exemple

Interprétation

……………………………..

C’est la répétition, dans un vers, d’un même son vocalique.

Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue.

(Jean Racine, Phèdre)

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C’est la répétition, dans un vers, d’un même son consonantique.

Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ?

(Jean Racine, Andromaque)