La Boétie, la servitude volontaire.

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quelconque a travers le registre 2 yeux,2 mains un corps

-Dans le sacrilège seul le registre épique est tolerer pour evoquer le roi , comparaison qu’a des aire mythologique

-ici la Boétie dénonce l’anomalie monstrueuse qui fait qu’un peuple entier implore sous le joug d’un seul homme toutefois si le tyran n’est pas plus fort qu’un autre c’est que sa force provient des autres.

4) C’est pourquoi la Boetie peut clairement dénoncé la responsabilité du peuple dans la tyrannie et sont malheur

●-Son aliénation se double d’une aliénation moral en témoigne un certain nombre d’adjectifs "nation opinial"

-LB denonce la pasivité des peuple comme le montre la tournure "vous vous laissez et deplore qu’il ne reagissent pas.

-la comparaison "pauvre peuple" se double donc d’une forme de colère face a cette forme de résignation

-le tyran n’existe que parceque le peuple se livre corps et ame a lui c’est la servitude volontaire que le locuteur explicite a present par le jeu retorique des questions reponse construite sur le meme shema symetrique (l.16-22)

-tout est acces sur la colabortion et la complicité du peuple traitre de lui même qui fournie au tyran des espions mais egalement des gendarmes, des meurtriers, des armées, des champs, des impot et des filles.

-LB rappelle au peuple sa part de responsabilité: c’est lui qui a permie au tyran d’acceder au pouvoir "celui la meme que vous avez fait ce qu’il aime (l.__). Le peuple a lui meme fabriqué son enemis et lui permet de se maintenir au pouvoir en le servant "c’est l’avantage que vous lui fournisser pour vous detruire" (l.__)

-Les questions sont polémique le peuple s’est mit devant ses responsabilités chaque réponse associe le pouvoir a la complicité de tous et la gradation ternaire qui termine la série des interrogation et des lexique péjoratif souligne sa culpabilité receveur du larron complice du meurtrière et traitre a vous même

-l’accusation du peuple est marteller par la recurence du "vous" dans chaque interogtion "si ce n’est de vous..." (l.__)

-le peuple est a la fois sujet et objet de sont malheur il s’enferme lui meme dans une circularité tragique celle de la servitude volontaire

-LB indique clairement que les hommes sont victime de leurs malheurs incessant,accumulation ou gradation renforce le malheur

-l’antithèse montre l’asservissement d’un peuple et le caprice d’un tyran avec le champs lexical de la volerie de la débauche par exemple la luxure ou encore mignarder dans ses délices "afin qu’il ait de quoi saouler sa luxure"(l.24),"afin qu’il les mène ...en ses guerres"(l.25),"afin qu’il se puisse mignarder en ses délices"

●Les 5 dernières lignes: remède proposer par LB

-1er phrase=moral LB donne son avis,

-il y a une comparaison entre la base du colosse de Zeus (une ancienne merveille du monde)

-il invite les hommes a se détacher de sa servitude non par la violence mais par le résistance passive, se défaire de sont tyran ce n’est pas le tué mais c’est refusé de le servir

-LB rejette le tyrannicide la chute du tyran est annoncé par la comparaison final "comme un grand colosse a qui on a dérobe la base"(l.35)

-l’état peut être comparer a Argus aux 100 yeux (peuple)

-état monarchique vampirise sont peuple qui n’a pour fin qu’elle même

-cette analogie (comparaison) participe a la démystification du peuple, sans le peuple le tyran s’effondre mais pour arriver a cette résistance, il faut que le peuple en ai la volonté, l’hypothèse "vous pourriez vous en délivrer" (l.31)est releyer par la modalité imperative. delors la liberte parai imediate avec la phrase "vous voila libre"(l.33)

-l’homme est un animal singe ou mouton (=>imite) les gens aime ce qui est desirer par l’autre

-procesus mimytiquepermet la multipliction des tyran et c’est lorsque que cesse ces multiplications en chaine que les tyrans s’enrouleront

5) Conclusion

Ce discoure politique engager oeuvre pour la démystification de la tyrannie.

LB dénonce le malheur du peuple mais le peuple aide le tyran (il sont complice de cette tyrannie) (=>paradoxe)

-LB appelle au bon sens du peuple, de ne plus servir le tyran

-syntaxe moderne a l’époque de LB, la monarchie de droit divin venais de dieu et était héréditaire cependant LB sort de ce schéma en posant la question suivante "a t-il quelque pouvoir sur vous, qui ne soit de vous même"

-LB anticipe la notion du contrat social selon laquelle le peuple investie par un manda c’est représentant

-dans un esprits démocratique on peut relever lelocance, les procéder de persuasion, les multiple apostrophe au destinataire, l’implication du locuteur a faire réagir le destinataire et le recoure a un lexique hyperbolique et le recoure a la période (phrase complexe doc les élément ont symétrique) destiner a faire réagir