L'homme de Mars

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modifications géographiques ce qui pour l’homme, est la preuve que mars est habité.

Le visiteur va demander au narrateur de l’écouter avec une grande attention. C’est là qu’il va lui parler de de canaux découverts en 1884 par M. Schiaparelli (C’est un astronome). Cet astronome en observant mars, il a découvert une grande quantité de lignes noires droites ou brisées suivant des formes géométrique constantes, et qui unissaient, à travers les continents, les mers de Mars.

Donc le visiteur il est assuré que ces canaux ont été construits par des êtres qui vivent sur la planète Mars.

Il poursuit son explication en en disant que l’astronome a refait des observations et a aperçu beaucoup plus de canaux que la dernière fois et avec une largeur de 100 km.

Le narrateur il de moque un peu car il n’y croit plus trop et il se met un peu à plaisanter sur le fait que les ouvriers devaient être super costaud pour réaliser un telle travail

L’homme il se justifie en disant que sur mars le travail est beaucoup plus aisé car il y a beaucoup moins de gravité sur cette planète.

Le narrateur il commence à se mettre à rire sur tout ce que le visiteur dit parce ’qu’il parle avec tellement d’assurance, il est tellement sur de tout ce qu’il dit, que ça lui donne envie de lui poser plein de question.

Le visiteur il remarque que le narrateur rigole à tout ce qu’il dit et lui assure que ce qu’il dit est vrai car les informations qu’il lui donne ont été trouvées dans des ouvrages spéciaux d’astronomie et il en profite pour lui expliquer que l’état de légèreté de la planète Mars y rend la vie différente et donc que l’espèce dominante sur Mars à des ailes. Et que Mars est recouverte de plante, d’arbres, d’animaux dont aucun être humain ne peut soupçonner les formes.

Ensuite il se tut brusquement, baissa les yeux, et il lui dit d’une voie très basse «C’est maintenant que vous allez me prendre pour un fou».

Il lui dit qu’il a failli les voire quelques nuits auparavant Comme c’était la saison des étoiles filantes.

Il était assis sur la falaise en train de regarder « la pluie de petit monde » (comme il le dit) quand tout à coup il aperçut un globe transparent entouré d’ailes immenses et palpitantes. Il explique qu’il faisait des crochets comme un oiseau blessé, et il tournait sur lui-même avec un grand bruit mystérieux. Cet objet passa devant lui et il dit qu’il semblait être plein d’êtres affolés, à peine distincts mais agités comme l’équipage d’un navire en détresse.

Ensuite, il vit l’objet aller s’abattre dans la mer avec un bruit pareille au bruit d’un coup de canon.

Il dit que tout le pays a entendu le vaisseau s’écraser mais que seul lui la vue, il a vu le premier navire sidérale lancé dans l’infini par des êtres pesants ensuite il se demande si ce n’était pas juste un simple météorite qui s’est écrasé dans la mer. Il se dit qu’il a seulement vu la terre arrêter un petit monde errant.

Et pour finir il prend congé du narrateur et lui demande de ne rien lui répondre et de réfléchir. De raconter cela s’il le veut.