L'Étranger, Albert Camus
Par Junecooper • 7 Octobre 2018 • 838 Mots (4 Pages) • 571 Vues
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complice et responsable du crime comme le montre les citations« cette chaleur s’appuyait sur moi », « son grand souffle chaud fumait dans la chaleur » et « la brûlure du soleil ».
Dans cette extrait Camus personnifie la mer tous comme il a personnifié la chaleur : la mer et la chaleur son extrêmement liée du faite que la mer tout comme la chaleur est complice et elle est responsable du meurtre de l’Arabe « la mer haletait […] charriait son souffle chaud ». Nous avons aussi un rapport à l’Apocalypse et à l’Enfer donc à la mort avec « océan de métal bouillant […] pleuvoir du feu […] Porte du malheur » il y a une annonce de la mort car le temps est arrêter « Deux heures que la journée n’avançait plus , deux heures qu’elle avait jeté l’ancre » et on sent que la mort est présente dans cette phrase que dit Meursault « C’était le même soleil que le jour où j’avais enterrée maman » le mot enterrée nous montre la présence de la mort.
Meursault commet un acte irréparable qui va déterminer la suite de son existence (arrestation, condamnation à mort) ; mais n’est pas responsable car la faute reviens au soleil et à l’environnement tout entier en général. Meursault est victime de la mécanique tragique mais choisi d’assumer son sort en tirant 4 coups supplémentaires. L’Etranger d’Albert CAMUS à donner naissance à une BD écrit par Jacques Ferrandez ou le meurtre de l’Arabe est diffèrent du livre de Camus .
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