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Ce corpus est fait de trois œuvres littéraires dont un qui se nomme la « théorie de la consommation » de Jean Baudrillard datant de 1970, un extrait de Jean Yves Toussaint « Pas d’existence sans objet » de Mai 2014, et un passage du roman de Georges Perec « Les choses » datant de 1965. L’autre texte est une chanson composé et interprété par Jean-Jacques Goldman, « Les choses » en 2001.

Tous s’interrogent sur notre existence par rapport aux objets au sein de notre vie.

Après avoir analysé l’importance des objets dans notre quotidien et de voir la dépendance qu’ils ont sur nous. Nous pouvant enfin nous pencher plus précisément sur ces objets.

La place de l’objet dans nos vies.

Souvent les objets ne répondent pas à leurs fonctions premières ils répondent juste à la demande de la mode se qui fait avoir des insatisfactions aux niveaux des consommateurs comme le dit Georges Perec dans sont passage littéraire. Malgré sa les objets deviennent indispensables dans notre quotidien comme le fait comprendre Jean Yves Toussaint. Les humains agissent avec les objets et des dispositifs. L’accès à ses objets nous classe même socialement et politiquement par le fait des conditions d’existence des êtres par le monde, par l’handicap, la pauvreté. Tout cela nous classe socialement puisque la société est devenue comme ça aujourd’hui.

Malgré cela l’accès aux objets et leurs fabrications est une nécessité vitale pour l’humanité, il fait évolué le monde.

Les objets peuvent ils autant perturber notre quotidien ?

L’influence et l’effet du consumérisme.

Les objets d’aujourd’hui non plus de fonction première, ils répondent juste a un besoin social. Baudrillard compare le consumérisme à une maladie « L’hystérie » a tel point que les consommateurs accumule des objets. Malgré ils restent souvent insatisfait par eux car leurs envie changent régulièrement. Avec les objets les être humains cherche a se distinguer des autres puisque souvent dans la société tout le monde se ressemble et avec un objet on peut faire la différence.

Le consumérisme peut avoir un mauvais aspect pour les humains comme le montre Jean Jacques Goldman dans sa chanson, il dit que c’est angoissant, que sa fait plus de mal que de bien. Que sans chose on n’existe pas et que sans marque on n’a pas d’identité.

En définitif, les objets sont réellement devenu indispensable, nous pouvons plus a se jours vivre sans leurs présence. Car notre société a évolué ainsi. On est alors devenu dépend a eux malgré qui nous satisfait pas toujours.