Crépuscule du soir

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On retrouve ses sentiments tout au long du texte, on voit qu'elle a aimé cet homme et qu'il la fait beaucoup souffrir.

Ce poème était écris d'une façon particulière afin de montrer la souffrance de l'auteure, de nombreuses métaphore, ponctuation diverses, et autres.

Tout d'abord, le texte, comme toutes les autres strophes, commence par « N'écris pas » qu'on retrouve aussi à chaque fin de vers, dans le trisyllabe qui fini la strophe, celui-ci, est un impératif à la deuxième personne du singulier, celui-ci marque une insistance, le mets en valeur ; en fin de strophe il est suivi d'un point d'exclamation, cela fait marquer l'importance et c'est un ordre, ce qui montre que c'est vital pour elle. On retrouve un point d'exclamation derrière « je t'aimais » (v.7), marque l'insistance sur le fait qu'elle aimait, mais aussi que c'est du passé et que maintenant elle ne l'aime plus. Il y a d'autres nombreuses ponctuation, on retrouve six virgules, douze points, cinq points d'exclamations, quatre points-virgules et des points de suspensions une fois, cela rend le texte très vivant, ils lui donnent du mouvement, et montre encore une fois son expression, cela dit, ses sentiments. Les points sont utilisés sur des phrases fortes, ou de belles métaphore, comme « Je suis triste, je voudrais m'éteindre. » (v.1).

Elle utilise les point-virgules après des phrases pou r y rajouter des éléments, comme dans « Je te crains ; j'ai peur de ma mémoire » (v.11). A travers sa ponctuation on retrouve encore ses émotions, et notamment sa souffrance ou sa colère.

Tout au long du texte, on retrouve de nombreuses métaphore et de nombreux procédés avec lesquels elle appuie encore sur ses sentiments et émotions. En premier vers elle utilise un euphémisme qui attenue ce qu'elle sous entendu, elle souhaite mourir et elle le dit « m'éteindre » (v.1). Ensuite, elle parle de lui en tant que « flambeau » (v.2) elle le compare à un flambeau donc à sa lumière, à la lumière qui fait briller sa vie. Elle répète plusieurs fois le verbe « frapper » que le cœur semblable au tombeau, sont aussi mort l'un que l'autre. Dans la même strophe, elle met à la rime « éteindre » (v.1) et « flambeau » (v.2), cela marque son désir d'éteindre ce qui la fait vivre et vibrer, en l'occurrence lui. À la troisième strophe, il personnifie la mémoire en la qualifiant tel que « elle » (v.12), en disant qu'elle entend la voix de cet homme. Une autre métaphore ensuite « Ne montre pas l'eau vive à qui ne peut la boire » (v.13), pour dire qu'il ne faut pas tenter quelqu'un alors qu'il ne le fera pas vraiment.

« Une chère écriture est un portrait vivant. » (v.14), une écriture qui a de l'importance est le portrait de celui qui l'a écris, elle dit ça pour ce texte qui reflète exactement ses sentiments à elle. Dans la dernière strophe, on voit qu'elle lui demande d'arrêter d'écrire car elle ne les lira plus ses mots, que pleins de mots la touche au cœur, mais qu'il brûle. Des nombreux procédés utilisés dans ce poème.

Ce texte est écris d'une manière spéciale qui aide à montrer la souffrance de l'auteure, ou juste à l'accentuer.

Pour conclure, à travers ce texte on retrouve de nombreux éléments qui nous montre que l'auteure souffre. D'une part avec les sentiments évoquer, on ressent qu'il y a eu beaucoup d'amour ressenti pour lui à travers ces paroles, et elle l'a tellement aimé et a par la suite tellement souffert qu'elle ne pourra plus tomber amoureuse. On sait qu'elle a souffert car c'est un vocabulaire ou champ lexical très présent dans ce texte, et cela aussi on le ressent bien. Et ensuite, avec toutes ces ponctuations qui font bouger le texte, rend ses émotions encore plus vivantes, et on ressent d'autant plus ce qu'elle subit. Ce poème montre la souffrance de l'auteure à travers ses sentiments évoquer et sa façon d'écrire ce texte.