Choses vues, Victor Hugo

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II- La réflexion du narrateur

C) Apparition angoissante

-L’homme n’est plus un humain, il est devenu un objet, un animal, un esclave -> « c’était », qui marque un manque de considération. -L’homme représente un « fantôme de la misère » -Présence d’un champ lexicale du fantastique (l-23-24) : spectre, apparition, difforme, lugubre, ténèbres -> cela montre l’angoisse du narrateur. –Ligne 23 : « en plein jour » -> fait référence à la femme qu’on ne voit pas en plein jour. –Ligne 24 : « vient » -> verbe de mouvement et qui semble prévoir qq chose qui arrivé (révolution) -Ligne 25 : « autrefois » -> signifie dans un autre monde -Vocabulaire non varié -> répétition -> cercle vicieux

B) La prise de parole du narrateur

-Ligne 2 : lors de la situation initiale, le narrateur observe ce qu’il se passe. -Élément perturbateur : arrivé d’un homme accompagné de deux soldats. –La pensée du narrateur (à la fin du texte) : il prévoit l’avenir -> « la catastrophe est inévitable », il analyse le présent pour prévoir l’avenir. –Ligne 21 : « je demeurai pensif » -> montre la réalité que constate le narrateur. –Le narrateur constate aussi qu’une partie de la société est aveugle et ne veut pas voir la misère (=les riches). Cette partie-là est dans un monde clos représenté par la voiture. Ligne 22 : comparaison -> le spectre de la misère est comparé à l’homme.

Conclusion générale

-V.Hugo montre sa vision de la société par la présence d’un homme (qui représente la misère et la puavreté) et d’une femme (qui représente la richesse, luxe).

Ce récit est un témoigne, qui veut faire prendre conscience aux gens de l’injustice et du danger qui règne dans la société.