Celine, Mort à Crédit
Par Ramy • 4 Mars 2018 • 612 Mots (3 Pages) • 462 Vues
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rite laïque, républicain qui entraine une nécessité absolue de l’obtention
Tournures empathique, phrases répétés plusieurs fois (insistance)
Un rite : « entrer dans la vie » « vous y entrerez dans la vie »
C’est un théâtre institutionnel (spectacle)
Rituel : « estrade », « procédure », « Inspecteur d’académie » (tourné en ridicule). Et un discours magistral sur la morale Républicaine : courage, travail, récompense
Recomptée au discours narrativisé ce qui enlève l’importance et le fond du discours => critique morale
Ridicule de l’examen et Regard critique
L’examen est tourné en ridicule/parodie : le par cœur, les connaissances vagues, absence de réflexion, caricature de l’interrogation orale par le vocabulaire descriptif et le choix des termes : « bafouillaient », « ratatinaient davantage ».
Une situation ridicule : « Il répondait pour tout le monde », « la session des crétins » montre l’incapacité des enfants
A la fin, utilisation de l’ironie : « miracle » « finalement », tous les enfants ont l’examen => Ce rite de passage est vide de signification, il est inutile
Un regard critique de Céline sur l’éducation de l’époque
Sympathie du narrateur
Description des enfants
Des enfants faibles et victimes faciles : « petits » « chétifs » « mômes ». Infantilisation avec la scatologie. Vocabulaire qui montre la fragilité
Mais on vois a la fin une transition du comportement vers celui d’un adulte « prendre des allures d’homme »
Point de vue interne
Tout est vu à partir du point de vue de l’enfant « Qu’il ma dit »
Il est le seul à montrer une sympathie pour ses compagnons « Comme moi »
Le point de vue interne du narrateur/personnage glisse au point de vue omniscient et prend du recul et raconte une scène qui révèle du registre Pathétique.
Critique de Céline
Ferdinand est le double de Céline (Louis Ferdinand) : petit commerçant, pas très bon a l’école mais fait des études de médecine
=> Critique de la société grâce a un personnage enfantin qui dénonce l’autorité de la famille et de l’école.
Ouverture
On peut relier ce passage au filme de Stanley Kubrick, Barry Lyndon qui lui aussi a travers ses aventures rocambolesques se confronte au monde dont il apprend la cruauté et la violence. Ce regard u personnage sert à proposer une vision d’un monde loin d’être idéal.
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