A qui la faute ? Victor HUGO
Par Andrea • 28 Août 2018 • 961 Mots (4 Pages) • 1 733 Vues
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34: Le livre est un instrument de transformation morale : "Tu deviens"
35: "Tu sens" Ils t'enseignent"
36: Retour a la métaphore filée de la lumière "L'aube éclaire un cloître"
38: métaphore filée de la lumière "chaud rayon" ddddddddddddddddddd fffdddddd - ffff -"te fait plus vivant" : Seul objet qui nous fait vivre hhhhhhhhhhhhhhhhjhhhhhhhhhhhhhhhhhhh d -> Pleins de- souvenirs
40-41: "fondre" avec le feu qu'il y a dans les livres ffffffffffffffffffffffffffffffff ffffffffff fffffff d - Idée du livre va brûler en soit les défauts "ton orgueil, tes fureurs”fffffffffffffff ffffffffffffff ff - Plus de "ton"/"tes" (possessifs) => "Le mal, les préjuges, les rois, les empereurs" jjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjj Pour le poète, il y a un lien, le système politique est mauvais (rois,emp.) a cause du mauvais hhhhhhhhhhh de chacun et en soit le livre que changer ça / Le livre est l'instrument pour changer le reste gggggggggggg du monde.
43-44 : "Car la science en l'homme arrive la première.Puis vient la liberté" : La connaissance fffffffffffffff conduit a la liberté.
V. 45 : "'C'est à toi" / "c'est toi qui"
V. 46: "Les buts rêvés par toi sont par le livre atteints." Le livre aide a atteindre une utopie
v.47-49 : On y voit pas clair dans notre tête (Nœud gordien) , le livre nous aide a y voir plus clair
V.50-51 : "Il est ton médecin, ton guide, ton gardien. Ta haine, il la guérit ; ta démence, il te l'ôte."
V.53-54 : - Valeurs morales : "Le savoir, le droit, la vérité, la vertu, le devoir, le progrès, la raison"
V-57 : Vers final; tout petit, 5 syllabes, moins qu'un hémistiche (6 syllabes)
La chute du poème est terrible car elle détruit toute la tirade d'avant qui ne sert a rien si l'on apprend pas à lire a tout le monde.
Il y a une démocratisation culturelle, il faut faire les choses dans l'ordre (permettre au peuple de s'approprier l'objet de sa libération)
CONCLUSION :
Dans ce poème, Hugo fait un merveilleux éloge du livre en le décrivant comme un instrument de progrès moral pour chacun et par conséquence comme un outil de progrès politique/historique pour tous
Il apporte la lumière (comme insiste beaucoup le texte) mais en même temps cet éloge nous laisse un goût amer car le texte nous invite a prendre la mesure de l'origine d'une certaine violence et du fossé qui sépare une partie du peuple des instruments de sa libération.
C'est un appel a l’alphabétisation et a l'éducation de tous.
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