L'approche réaliste de la crise de Cuba
Par Raze • 26 Novembre 2018 • 917 Mots (4 Pages) • 556 Vues
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- La perpétuelle quête de puissance qui instaure un climat de méfiance vis-à-vis des autres états → depuis la fin de la 2GM l’URSS et l’EU voient respectivement la possibilité d’installer sa puissance, ils sont donc en rivalité et se méfient l’un de l’autre (caractériste même de la guerre froide) + La tendance des états à comparer leur puissance. l’U.R.S.S. s’est classée en comparaison des États-Unis.
- La présence de menaces → Les Etats-Unis craignent un changement dans la distribution de la puissance des états dans le système international et y vois une menace à son hégémonie. Ils sont donc dans l’obligation de riposter + menace à la sécurité suite à l’installation en Turquie de missiles américain
- Finalement, le sentiment de fierté et l’importance de la réputation des Etats sur la scène internationale → Khroutchev sentait la notoriété soviétique décliné
L’approche réaliste du déroulement de la crise
Les réalistes analysent le processus de décision au travers d’une question : pourquoi aucun dirigeant n’a risqué l’affrontement militaire ? Et comment sont-ils arrivés à un compromis ?
Pas d’affrontement:
- Khroutchev:
- Vulnérabilité sécuritaire l’a poussé à renoncer à un affrontement direct: l’URSS n’égales par les Etats Unis en termes de nombre de missiles nucléaire (missiles américains déployer en Europe en direction des URSS). Le rapport de force était inéquitable, attaque → pas rationnel.
- Raymond Aron → l’enjeu n’était pas Cuba mais Berlin, le cœur de la guerre froide. L’URSS ne souhaite pas détruire les Etats Unis dans l’immédiat mais exercer une pression afin qu’il cède à Berlin (Mur de Berlin 1961). Mais dès que Khroutchev a vu que les Etats-Unis considérer répondre à la menace atomique il a abandonné.
- Kennedy:
- N’a pas seulement agit en fonction des intérêts américain. (Blocus maritime, Thucydide : si on ne prend en compte que ces intérêt alors échec)
- Poids des alliances qui influences les décision (OTAN ; car il est dans l’intérêt de l’Etat ne pas se les mettre à dos)
Le compromis
- Prise en conscience des conséquences d’une guerre nucléaire et que chacun possède des moyens nécessaire pour détruire l’autre (équilibre de la Terreur)
- la guerre n’est plus populaire (suite au deux conflit mondiaux)
- Politique de respect de Kennedy vis-à-vis de Khroutchev (reconnaissance de la puissance soviétique: Kennedy n’impose pas d’ultimatum, implique les Nations Unis comme médiateur…) a contribué à la mise en place d’un compromis.
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