Le Roi des monarchies
Par Stella0400 • 9 Novembre 2018 • 5 927 Mots (24 Pages) • 444 Vues
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Il y en a eu bcp, 3 sont fondamentaux : BODIN, LAYSEAU, LE BRET. Il y'a eu des ouvrages de Droit qui ont été comme des Théories de l’Etat, les théorie de la Monarchie.
Le dénominateur commun de ses 3 auteurs c’est la notion de souveraineté. C’est ce qui est au coeur de leurs réflexions.
Et ce qui est au coeur de leurs traité c’est que en France, le souverain, c’est le R. Et c’est le fondement de leurs pensée politique. Alors qu’est ce que cela veux dire le souverain c’est le R. ? Vous s’avez aujourd’hui le souverain c’est la Nation, eux dissent le souverain c’est le R. Concrètement cela veut dire que dans la hiérarchie des pouvoirs ou dans la hiérarchie sociale, le Roi est au premier rang. C’est une évidence, mais ce n’est pas cela qui est fondamental. Ce qui est fondamental c’est que non seulement le Roi est supérieur à toute forme d’autorité dans le Royaume, mais surtout il est indépendant, de toute autres formes d’autorités dans ce Royaume. Cela veut dire que le Roi n’a jamais à soumettre ses actions à qui que ce soit. C’est cela l’indépendance du roi, c’est cela être souverain. Quand on dit ne soumettes à personne, cela pourrait être son aristocratie.
Il est donc indépendant de son aristocratie. Cela veut dire qu’il n’a à soumettre son action à aucun corps constitué quelque qu’il soit, à aucune autorité, que ce soit administrative, judiciaire, ou encore militaire. Il est totalement indépendant. Il est même indépendant des institutions représentatives qui pourrait exister pour représenter la Nation.
La plus célèbre étant les Etats-Généraux, qui représentaient la Nation. Et bien ces théoriciens affirmait que le Roi n’était même pas dépendant des institutions représentatives de la Nation, donc quand même indépendant des sujets. Il n’était dépendant de personne. Que son action soit indépendante de personne, cela veut dire que pour faire quelque chose, il n’a jamais besoin de la faire approuvé, il n’a pas besoin de soumettre son action pour la mettre en oeuvre.
Et deuxièmement, lorsqu’il à fait une chose, personne après lui ne peut la juger, la condamner ou la disqualifier. En d’autre terme, le Roi est lié a aucune autorité. Il est en fait délié à l’égard de toute autorité. Et c’est très précisément de la que vient le qualificatif d’absolue. La racine étymologique d’Absolu, le sens originel du terme absolu, quand on remonte à la racine latine, c’est l’idée du lien, que l’on lie, ou que l’on délie.
Et absolu cela veut dire au sens strictes du terme, que c’est une monarchie sans lien. Autrement dit sans lien avec personne.
Une monarchie indépendante de toute autorité. Et en fait il faut ajouter indépendante de toute autorité terrestre. Parce que nos théoriciens reconnaissait quant même une autorités supérieur au Roi, cette autorité, c’est l’autorité de Dieu. Donc la théorie était complété par une autre théorie qui était celle du Droit DIVIN.
Que disait en substance la Théorie du Droit Divin ? Et bien elle disait, qu’il y'a fait bien une autorité supérieur, au Roi, c’était Dieu. Et que c’était au fond la seule chose qui pouvait exercer une autorité sur le Roi de France. De son vivant il était délié, de toute autorité terrestre mais il était lié dans le ciel si l’on peut dire, à Dieu. Qui l’avait choisit pour être Roi. Et qui un jour le jugerait pour avoir été Roi. Et c’est la, la seule autorité qui a été reconnu, comme supérieur à celle du Roi. La souveraineté royale et le droit divin était le socle de leurs pensées. Mais il reste aussi à envisagé qu’est ce que la monarchie disait sur elle même. Que disait-elle qu’elle était ?
3) La position de la Monarchie :
Et bien en fait ces Théories présentées la monarchie les a adoptés, et elles étaient devenu au fond ses propres théories. Mais jamais il n’y avait eu a proprement parler d’approbation officielle, jamais on avait écrit de textes pour dire que la monarchie était-elle qu’avait écrit ses penseurs. Il était implicite si l’on peut dire, que ses théories était celle de la monarchie.
Elles était la référence des souverains au XVIIè siècle et elle sont rester la référence des souverains jusqu’a la fin de l’Ancien Régime. Autrement dit Louis XV, Louis XVI adoptait et agissait selon ses théories. C’est ce qui explique en grande partie la mort de Louis XVI, qui est resté jusqu’au bout fidèle, à ces théories. Par conséquent, dans le Royaume il était de fait que ces théories était celle de la monarchie.
Et au fond, on le voyait constamment dans les paroles, dans les écrits, dans les gestes du Roi de France, qui au fond par ce qui disait, par ce qu’il faisait et bien mettait en oeuvre, appliquait ces théories de la souveraineté et du Droit Divin.
Et la monarchie n’estimait pas devoir s’expliquer, et encore moins devoir les justifiés, elle était d’une certaine manière un donné de la vie politique du Royaume. On connait guerre qu’une circonstance au XVIIIe s. Où l’on a vu le Roi en l’occurence Louis XV, devoir réaffirmer la nature de la monarchie. C’est un épisode très très célèbre qui a lieu en 1766. C’est un grand discours que prononce le Roi, ce que l’on appel aujourd’hui « Le discours de la flagellation ». On a vu Louis XV de manière très exceptionnelle, comme réaffirmer ce qu’était la monarchie et ce qu’était les théories de la monarchie.
Le contexte pour faire bref était le suivant, il est face au parlement de Paris, qui est une des grandes institutions de la monarchie de l’Ancien Régime. Il est face à un parlement de Paris qui a essayé d’entraver son pouvoir législatif, et le roi redis solennellement devant les membres du parlement ce qu’est la monarchie et il le fait sur le ton de la réprimande. Il redis ce que c’est ce qu’un Roi absolu. Il redis notamment qu’un Roi absolu est législateur, il que lui seul incarne la Nation.
Extrait : « Comme si il était possible d’oublier que c’est en ma personne seul que réside la puissance souveraine »
Sous-entendu vous l’avez oublié, je me dois de vous le rappeler. Donc vous voyez ici c’est la théorie très nette de la souveraineté, c’est en lui que réside toute la souveraineté.
Extrait : « C’est à moi seul qu’appartient le pouvoir législatif sans dépendance et sans partage » Vous voyez l’absolutisme, sans dépendance et sans partage,
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