Histoire terminale S
Par Stella0400 • 16 Janvier 2018 • 1 123 Mots (5 Pages) • 491 Vues
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C) Une mémoire « fragmenté, conflictuelle et politisée »
→ Années 80
- procès Barbie en 87 : filmé pour l'histoire (SS.Gestapo) → crimes contre l'humanité
- 1997-1998 : procès de Maurice PAPON (complicité crimes contre l'humanité/ancien au fonctionnaire de Vichy/procès dure des mois/France « se redivise » + pas d'humanité contre lui)
→ histoires, mémoires, justice s'entremêle, les débats mémorielles notamment sur la Shoah ont stimulés recherche historique (Raul HILBERG → la destruction des Juifs d'Europe).
- Pour autant blessures demeurent & passé se regarde pas aisément en face → qd c à l'origine de trauma profonds de France, notamment le cas pdt lgt du régime de Vichy.
- 3)Depuis la deuxième moitié des années 90 : Une mémoire apaisée ?
A) Le syndrome de Vichy : « Une passé qui ne passe pas »
→ 1987 livre de Henry Musso
- Pdt des années incapacité Etat Français reconnaître erreurs du passé.
- Choix (tt ce qui c passé pdt guerre laissé de coté) de De Gaulle (58 à 69) & perpétué par successeurs. Tt les prés. jsque Mittérand inclus.
- Présidents → Pompidou [69-74] → G. d'Estein [74-81] → Mitterand [81-95] (ex de Vichysto-Résistants)
B) La grande rupture : Chirac et la reconnaissance officielle (mémoire officielle) de la responsabilité de l'Etat Français dans la déportation des Juifs : 1995
→ Analyse de Document.
Grands thèmes :
- Reconnaissance officielle (par présidents) de responsabilité régime de Vichy dans déportation/extermination Juifs pdt la 2nde G.M
→Collaboration active Vichy ex : collaboration policière : Juif arrêté par forces de l’ordre Française + évoque collaboration de milice (collaborationniste).
→Une régime : - raciste, révélé par raffles de 1940 – Anti-sémite
Rupture : Pour première fois président reconnaît officiellement la rupture. Fin du dénis, du silence entamé par D.G
- La mémoire de la Shoah (mémoire Juive)
→ Un devoir → pédagogie → jeune génération
→ La mémoire officielle y contribue enfin
« France » → rappeler que pas un pays anti-sémite
- Une rupture totale ?
→ Pas tout à fait : Chirac glorifie la « résistance » F.F.L (résistance extérieur) & La France de De Gaulle.
Les Français justes → qui ont couverts/héberger Juifs.
- Le temps du devoir de mémoire : « Une mémoire plus consensuelle
- Dès 1990 : Loi Gayssot (pénalise contestation des crime humanité : loi répression propos racistes et anti-sémites)
- Evolution mémoires : → mémoire Shoah tjrs très présente (derniers témoins) → nvelle mémoire (Ex: Indigène (film de 2006) → rend hommage aux troupes colonial.)
- Consensus jms total (ex : Instrumentalisation de la secondes guerre mondiale et notamment de la Résistance)
CONCLUSION DE TOUT LE CHAPITRE
Histoires et mémoires de la seconde guerre mondiale ont donc profondément évolué depuis la seconde guerre mondiale, des mémoires officielles mais aussi partisanes. Après 50 ans de dénis ou de mythologie, la République Française par la voix de J.Chirac a reconnu la participation active de l'Etat français au génocide des Juifs. Aujourd'hui les années noires l'acceptation, se passé ne passe pas, reste les enjeux dans le débat politique même si la disparition progressive des témoins et acteur changent la nature du débat sans doute moins passionné.
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