Bibha francais

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Enfin, il est véridique de dire que Vian présente le milieu industriel sous ses mauvais angles dont l’un d’eux : un monde dépouillé de sens. [S+IP]D’abord, le travail semble être sans intérêt, voir absurde et la vie n’importe peu [IS]: «…». L’auteur répète sous la forme de dialogue entre les protagonistes l’absurdité qu’est le travail, il critique l’absence de finalité du travail. Sans réfléchir, les ouvriers travaillent en se disant que cela est tout simplement normal et qu’il va de soit de trimer à l’ouvrage sans se poser aucune question. [II]De plus, l’insignifiance de l’homme est également soulignée dans l’œuvre [IS₂] :«….». Les ouvriers sont décrits de telle manière à ce qu’on ne puisse rien leur définir ni identité, ni caractère. Leur vie semble être sans importance, les hommes sont constamment massacrer par les machines et de là aucun émotion n’est exprimé autour de cette action, comme si l’humain n’était qu’objet ayant été conçu pour travail et si un meurt, un autre le remplacera et la vie suis son court. [II] Pour terminer, il est correct de dire que Vian n’accorde aucune importance à l’homme et à son travail.

Somme toute, Vian offre une vision pétrifiante et caricaturale du monde industriel. Les installations sont présentées comme un monstre menaçant et cruel qui retire toute forme de caractère humain sans la moindre compassion. [S] Maintenant, il serait bien d’analyser l’œuvre L’étranger, d’Albert Camus, dans laquelle on retrouve le même courant littéraire, soit l’existentialisme et voir si les caractéristiques de celle-ci sont aussi reflètes .