Approche paysagère du territoire

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Subtropical : opposé du méditerranéen, il est plutôt à l’Est avec la Chine, la Floride, avec des précipitations importantes (1500MM), beaucoup d’eau, des été chaud mais avec des périodes beaucoup plus fraiche. Il pleut beaucoup le sol est donc lavé (lessivage). Végétations luxuriantes, des grandes forêts souvent mixtes (chênes, palmiers, bambous…). Le paysage agraire est très important.

Milieu océanique : hivers doux e pluvieux, étés frais et humides. Température annuelle environ (8et 16°C)

Landes : souvent composé de bruyère

Milieu continental : l’intérieur des terres, chaud et froid plus accentués. Les précipitations sont aussi importantes (neige en hiver, orage en été) et le sol est très bon en moyenne avec un humus important. Grandes zones de pâturages.

Milieu intertropical : climat tropical et équatorial. C’est le milieu du chaud, il n’y a pas de froid et théoriquement pas de 4 saisons, il n’y en a que 1 ou 2 et en moyenne la température est supérieur à 18°. L’hivernage c’est la saison de la pluie et non la saison du froid et de l’autre il y a la saison sèche. Les précipitations sont variables (250MM), on peut cultiver. Et cela peut aller jusqu’à 1500MM. Les sols sont latéritiques, il est dur et « rouillé », il se produit durant la saison des pluies et s’infiltre mais s’évapore ensuite d’où la « rouille » car c’est une terre rouge. Il y a une limite, c’est lorsque le sol deviens extrêmement dur en surface et en profondeur.

250MM dans le tropical. Si les précipitations tombent normalement, ça peut aller jusqu’à 1500mm on pourra cultiver du riz. Dans le climat asiatique on peut pratiquer la riziculture. Il y a des sols latéritique, c’est cet échange entre l’évaporation et l’infiltration de l’eau dans le sol et le sol devient très dur, il est aussi ferrugineux (beaucoup de fer) -> sol rouge rouillé. Le milieu tropical présente un paysage agraire tout à fait typique. C’est une agriculture (surtout en Afrique) qui est traditionnelle. Les méthodes agricoles sont variées et adaptées.

Le milieu équatorial : (sous l’équateur) : définit comme étant le plus régulier. Il pleut tout le temps, il n’y a pas de temps sans pluie, parfois plus ou moins, précipitations importante (2000MM voire 4000MM), il y a donc un lessivage important des sols, les températures sont tjrs environ de 25°. C’est un milieu désagréable à cause de sa forte humidité. Il y a une forêt dense, les racines retiennent le sol. Le milieu naturel à tendance à disparaitre à cause de la forte exploitation. Dans les déserts (chaud ou froid), il n’y a pas d’agriculture, car il n’y a pas d’humus donc pas de sol. La végétation pousse et meurt très vite à l’arrivée de l’eau ou son départ. Les dunes de sables (erg) et désert de roche (reg), dans ce milieu les écarts de températures font éclater la terre. Ce milieu difficile à fait que les Hommes et les agricultures se sont adaptés.

Le relief a aussi une influence sur l’agraire : à cause des conséquences de ces dernières (on perd 0.6° à chaque fois que l’on monte en altitude). Influence sur la végétation, épaisseur de sol qui varie, une pente raide enduit à un sol mince. Dans une zone très humide ou il n’y a pas de pente, il y aura plein de lessivage et ce n’est pas bon non plus. Influence sur les sols. Aujourd’hui tous ces milieux ont étés pris d’assaut par l’Homme, les paysages ont beaucoup modifié. L’homme s’adapte très vite. Le relief influence donc l’agraire et ce sont ces derniers qui fixent les grandes zones agricole. L’eau est un facteur primordial, et le froid est un facteur limitant.

II) les définitions qui interviennent dans le paysage agraire.

Genre de vie : l’ensemble des habitudes par lesquelles le groupe, les gens, qui les pratiquent assure leur existence. Le premier genre de vie c’est la pèche avec un filet, et l’agriculture nomade. Ces genres de vies sont caractérisés par les outils utilisés, ainsi que les procédés (engrais…) la densité de population dépend du genre de vie.

Surpeuplement : trop de gens pour un niveau égal ou supérieur à avant. Il y a donc de l’exode, surtout rurale à l’époque. Un exode c’est définitif.

Le système de culture (système agricole) : comprend l’ensemble des pratiques de culture ou d’élevage. C’est l’association des végétaux cultivés sur un espace. Ces cultures ont entre elles des liens qui peuvent être de coexistence (cultures cultivés en même temps sur des champs différents), on peut avoir des cultures intercalaires (une range de plante et une rangé d’autre plante etc..), ou il y a des liens d’assolement ou de rotation, il y a des cultures qui vont se succéder dans le temps (une culture pdt un temps et une autre après), un assolement c’est pareil mais en plus précis. Ce sont des pratiques pour avoir un amendement naturel du sol. Il y a donc un calendrier agricole.

Le type de culture (réf économique) : culture vivrière, autoconsommation, de subsistance (nourrir la famille) et de l’autre y a les cultures commerciales qui sont tributaires du marché (fluctuation…)

L’agriculture/élevage intensive: rentabilité maximum. Commercialisation qui dégage des profits. L’élevage intensif c’est les batteries, les animaux qui souffrent.

Extensive : autoconsommation, on ne parle pas tjrs de commercialisation et il n’y a quasiment pas de stock. Pour l’élevage c’est les nomades avec des troupes pour vendre un peu de vache pour vivre. Le bétail est donc en bonne santé.

Cours du 12/10/16

L’agriculture extensive normalement est une agriculture qui n’utilise pas tout les moyens possible pour rentabiliser, y a pas bcp de stock. Il peut y avoir du troc. L’élevage extensif est sur le même schéma, c’est un élevage d’épargne, de prestige qui va servir de monnaie lorsque les éleveurs ont besoins d’acheter des produits ou des services. C’est peu rentable.

Ranching :

L’agriculture intensive n’est pas une question de superficie (batteries pour les poules…)

Cultures de rapport : comme les serres, petite superficie rentable avec des produits de maraichage (qui coutent assez cher) afin de rentabiliser

L’élevage intensif ce n’est pas une question de qualité mais de rentabilité. C’est la batterie,