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Etude de la Suisse.

Par   •  24 Mai 2018  •  1 253 Mots (6 Pages)  •  373 Vues

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de Zurich qui est le principal, celui de Genève Cointrin et pour finir celui de Bale-Mulhouse-Fribourg.

Economique :

L’économie Suisse reste aujourd’hui une des plus prospères et développées à la fois en Europe mais dans le monde malgré le fait qu’elle ne dispose pas de matières premières et que son territoire soit enclavé. La monnaie de ce pays est le Franc Suisse et son Pib s’élevait en 2013 à 646.2 milliards de dollars (38eme rang mondial). Le Pib par habitant quant à lui s’élève à 81 276 dollars. Le taux d’inflation qui correspond à la stabilité des prix d’une année à une autre est quant à lui très bas puisque il est de -0.181% en 2016 ce qui en fait un des plus bas au monde.

Pour ce qui est du chômage il reste aujourd’hui encore très bas puisque la Suisse se classe aujourd’hui 99eme sur 109 au niveau mondial dans le classement des pays par rapport à leurs taux de chômage avec 3.38% si l’on compare ce taux à celui de ses pays frontaliers on voit qu’il reste très faible puisque 12.17% de la population Italienne se trouve au chômage, 10.18% pour La France et 4.72% pour l’Allemagne.

Ce taux de chômage très bas peut s’expliquer par diffèrent facteur lié à la structure du pays :

• L’enseignement suisse oriente très rapidement les élèves vers une formation professionnelle en alternance, ici on ne cherche pas à avoir le diplôme le plus élevé comme en France par exemple. Grace à cela les jeunes diplômés sont tout de suite prêts à travailler puisqu’ils connaissent déjà les us et coutumes du monde du travail.

• Au contraire des autres pays qui l’entoure en Suisse la liberté d’embauche et de licenciement est un pilier du monde du travail en effet lorsque l’on se fait licencier on trouve rapidement du travail on n’est pas mis de côté comme dans certains pays européens.

• Il faut aussi prendre en compte le fait qu’en Suisse il n’y a pas de salaire minimum lorsque l’on emploie quelqu’un ce qui pousse les entreprises à beaucoup plus embaucher puisque les couts salariaux sont moins élevés que si il y avait un salaire minimum.

• Les entreprises Suisses sont beaucoup plus compétitives que les autres entreprises du continent puisque les charges sociales restent raisonnables : 25% du salaire net contre 80% en France et en Italie. Ainsi les salaires nets sont élevés(le salaire net médian est de 4761 francs net soit 4000 euros) ce qui permet une consommation des ménages fortes et ainsi une forte demande auprès des entreprises qui doivent embaucher plus pour répondre à cette demande.

• Le travail et la réussite en Suisse sont valorisés dans les sociétés ainsi les Suisses n’hésitent pas à travailler plus pour gagner plus et pour s’élever dans la hiérarchie sociale. On peut prendre l’exemple suivant pour appuyer cette idée : en 2013 les socialistes voulaient faire passer les congés de 4 à 6 semaines par an mais cela a été refusé par les électeurs.

La Suisse reste numéro 1 mondial des nations les plus innovantes au monde et ce car elle investit massivement dans certains domaines comme la machine-outil, la chimie, les biotechnologies, la pharmacie, l’informatique, ingénierie civile et même le spatial. Ainsi fin 2015 on peut voir que les secteurs les plus porteurs sont les suivants : le secteur des télécom avec +11.47% des capitalisation de marché individuelle des titres en Suisse par rapport à l’année d’avant , en 2eme place c’est le secteurs des matériaux avec +7.38%(25% des transactions mondiales du commerce des matières premières s’effectuent en Suisse) , la finance avec +5.51%. Au contraire les secteurs à éviter sont celui des énergies qui a perdu 3.25% par rapport à 2014, celui de l’horlogerie – 5.44%.

Commerce Extérieur :

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