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Pouvons-nous avoir la certitude que nous sommes libres?

Par   •  26 Septembre 2018  •  876 Mots (4 Pages)  •  535 Vues

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• Pourtant libre arbitre dès qu’on l’examine de plus près, ne s’expose-t-il pas à certaines critiques.

II. La liberté en étroite relation avec la nécessité.

A. La critique du libre arbitre

• Tout n’est-il pas déterminé dans la vie ? tout n’est-il pas produit par des causes ?

• Rien arrive sens raison on appelle cela le déterminisme (tout dans la vie est sensé s’enchaîner selon une loi de cause à effet on parlera de déterminisme biologique sociologique et psychologique)

• SPINOZA : « Des hommes sont conscient de leurs actes mais ignore les causes qui les détermine »

• FREUD : « Le moi n’est pas maître dans sa propre maison »

-LE SURMOI : partie inconsciente qui se forme l’intériorisation. Il est à l’origine de la moralité.

-LE MOI : la point contact avec la réalité pris entre les assauts du sein et la pression du surmoi

-LE CA : une partie totalement inconsciente qui rassemble des pulsions totalement inconsciente.

B. Etre libre être pleinement soi-même

• Et si la liberté pouvait consister dans le fait de comprendre les forces qui nous composent, les contraintes intérieures afin de composer avec ?

• FREUD nous invite à prendre conscience peu à peu de notre inconscient.

• NEITZSCHE parle ici du grand style lorsque l’individus parvient à harmoniser toutes les forces qui se mettent à composer entre elles harmonieusement.

• SPINOZA qui montre que l’individus ne peut s’accomplir pleinement, devenir lui-même que en apprenant à se connaitre qu’en répondant à son désir profond d’exister.

• Dans ces conditions peut-on envisager de dépassée la contradiction apparente entre liberté de choisir et nécessité ou déterminisme.

II. La liberté comme mise en situation

• SARTRE « L’existentialisme est un humanisme »

A. « L’existence précède l’essence »

• Par conséquence l’existence se résume à un ensemble de choix. Nous n’avons d’identité ou d’essence fixe.

B. Il n’y a pas de contrainte sans liberté.

• C’est moi qui décide de les accepter ou de les combattre. Au fond une contrainte ne se tient comme tel que face à une liberté qui lui donne son sens de contrainte.

• SARTRE : « tel un rocher qui manifeste une résistance profonde si je veux le déplacer sera, au contraire, une aide précieuse si je veux l’escalader pour contempler le paysage »

C. « L’homme est condamné à être libre ».

• Nous sommes appelés à devoir toujours choisir y compris dans des situations extrêmes : résister ou collaborer : SARTRE : « On n’a jamais été aussi libre que sur l’occupation allemande »

• Pour SARTRE la liberté devient parfois angoisse devant l’absence complète d’essence, d’identité, devant la fuite absolue de tout fondement sur lequel on aimerait se poser.

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