Philosophie - Les bases - Platon

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Sophiste → sophia « je sais »

Ils étaient très intelligent, très cultivé, très instruit. Ils ont beaucoup voyagé, ils ne sont pas forcément Athénien. Souvent issue de catégorie social élever. « Ils ont le sens des affaires », particulièrement à Athènes. Ils sont attirés par Athènes, par l’appât du gain. Beaucoup de gens ne savent pas s’exprimer en publique. Ils repèrent que la parole est importante, d’un point de vue politique et de la justice. Les sophistes décident de leur donner des cours pour savoir si exprimer. Ils vendent ces cours assez chère. Ils vont vendre ces cours à la jeunesse Athénienne. Ils leurs apprennent l’art oratoire, appelé également la rhétorique. L’éristique, c’est l’art de détruire la thèse adverse.

- Gorgias

- Protagoras → influent, près du pouvoir politique, reconnu, riche

- Hippias

- Calliclès

- Opposition, persuadé, convaincre.

Convaincre : C’est utiliser des arguments pour faire adhérer quelqu’un à une thèse.

Persuadé : Utilisé des outils linguistique pour faire adhérer quelqu’un à sa thèse. Joue sur les sentiments. Ils disent aux autres ce qu’ils veulent entendre. Ils donnent des exemples, ce qui compte c’est de gagner. Séduction, manipulation.

Démagogie ≠ pédagogie

Démagogie : flatter, dire à l’autre ce qu’il veut entendre.

Pour les grecs, les sophistes ont réussis leur vie. Ils ont l’argent, le pouvoir et la popularité.

C – Socrate.

Xénophon

Diogène Laëre → écrivain sur Socrate

Platon

Né a Athènes, 470 – 399 au J-C. Il n’a pas accès à l’instruction, issue d’un milieu modeste, père sculpteur. Sa mère est sage femme. Socrate suis son père dans la sculpture. Les choses n’auraient pas changé si il n’avait pas reçu un jour la visite d’un de ces amis, Chéréphon, qui était allé voir l’oracle. L’oracle lui parle de Socrate : « ton ami Socrate est le plus sage des Hommes ». Chéréphon lui rapporte alors la parole de l’oracle. C’est ainsi que démarre son parcours. Il décidera suite à cette prédiction d’aller s’entretenir avec toutes les personnes de la cité qui se prétende sage. Il interpelait les gens dans la rue. Toute ses questions commence par : Qu’est-ce que ?

→ être → essence ≠ accident

Essence : c’est ce qui appartient nécessairement à une chose, ce sans quoi elle ne serait plus elle même.

Accident : ce qui est, mais aurait très bien pu ne pas être.

Aporie = dialogue qui ne débouche sur rien.

Lorsque Socrate pose ces questions ces interlocuteurs répondaient par des exemples. Socrate mettait les autres dans l’embarras. « L’embarras socratique ». On le compare à un taon. Cela à mus la légitimité des sages ne cause. → Fondement de l’autorité.

C’est comme cela que Socrate comprend la parole de l’oracle. Sa sagesse à lui réside dans la conscience de son non savoir. « Je sais que je ne sais rien ». → conscience de son ignorance = la sagesse.

« Ce que je ne sais pas, je ne prétend pas non plus le savoir. »

Socrate pratiquait le dialogue, il avait l’habitude de dire qu’il faisait un peu le même métier de sa mère. « Maïeutique » → l’art de faire accoucher les esprits. Ce principe d’éducation était très éloigné de celui des sophistes.

Pédagogie (élève > professeur).

Socrate interrogeait beaucoup de gens sur leurs façon de vivre et notamment sur la différence entre être et paraître.

Ex : être juste mais paraître injuste ? ou être injuste mais paraître juste ?

Socrate va déplaire au « plus » sage de la cité, qui eux sont soucieux des apparences. A force de aire cela, il ira en prison.

L’apologie de Socrate, PLATON

Lors de son procès on l’accuse de ne pas honoré les dieux de la cité et qu’ils s’éloignait des mythes. On l’accuse aussi de corrompre la jeunesse. Il décide de ne pas utilisé l’art oratoire. Il dit qu’il ne fait rien de mal, il pose simplement des questions. A l’issu du procès on lui propose entre resté à Athènes mais d’arrêter ce qu’il fait ou alors de continuer mais ailleurs. Il refusera. On le condamne alors à la mort, par poison (le ciguë).

Criton, PLATON

Dès que la philosophie naît, elle est mise à mort, à cause de la politique.

Conclusion :

Nous nous somme demandé comment était né la philosophie. Dans un premier temps nous avons vu qu’on pouvait parler d’un « miracle grec » notamment avec l’apparition dans une même ville à une même époque de nombreuse discipline. Tels que le droit, l’histoire… Ensuite nous nous somme intéresser aux hommes grecs et plus précisément à leur mythologie. Il faudra attendre les présocratiques pour opposé le logos (savoir) au muthos (mythe) et surtout c’est l’avènement de la sophistique qui favorisera le premier pas vers la philosophie. En effet nous avons conclu que Socrate était le père de la philosophie, car il est le premier à interroger l’essence des choses.