Méthodologie de la composition
Par Ninoka • 30 Octobre 2018 • 728 Mots (3 Pages) • 503 Vues
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Les historiens fixent le contour de l’histoire et l’expliquent. La mémoire appartient au domaine des sentiments, tandis que l’historien recherche la vérité et recoupe les sources. En France durant la seconde guerre mondiale de 1939 à 1945 se développent des mémoires plurielles, individuelles de groupe ; L’historien s’en nourri, s’en distingue en les mettant à distance.
Problématique.
Dans une première partie nous montrerons donc de 1945 à la fin des années 60 il y a une volonté de restaurer l’unité nationale. Nous montrerons ensuite que la collaboration est mise en avant par les historiens. I.1) le mythe de la résistance (gouvernement provisoire, occultation de la mémoire de Vichy, loi d’amnistie, Simone Veil = plus facile de témoigner sur la résistance que sur la collaboration). Ce mythe est alimenté par les communistes, gaullistes à part mais les deux mettent en avant la résistance. 2) Le rôle de l’historien qui lui aussi met en avant la résistance (Robert Aron « glaive bouclier »), liaison après la seconde guerre mondiale = amnésie collective et que à partir de 1970 elle se termine avec un nouveau contexte et historien = nouveau rôle. 1) le Film La France collaboratrice, documentaire interdit etc… Les procès de Eichmann en Israël et des déportés etc… 2) En 1973 c’est Robert Paxton qui va contredire la théorie du glaive et du bouclier. 3) Mémoire officielle et histoire avec les lois Gayssot, historiens NRV, c’est là qu’il faut attendre Chirac pour reconnaitre la collaboration de la France, Mitterrand mytho et l’historien pas oka avec le devoir de mémoire car c’est l’Etat avec les lois commémoratives, pour eux la loi ne fait pas l’histoire et la commémoration n’est pas l’histoire.
Conclusion : C’est que la construction des mémoires de la seconde guerre mondiale montre l’interdépendance entre les mémoires et l’histoire. On a vu que plus on avance plus l’historien se détache de la mémoire officielle résistancialiste car elle évoque la collaboration. On peut voir qu’aujourd’hui l’historien recherche la vérité plus que la commémoration.
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