Modes de composition

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Les derniers documents, sont, d'abord, l'extrait d'un livre, Memento, de Daniel Larrieu, qui retrace son parcours de danseur, de 2014, accompagné un autre document, un dessin. Ces document ont été envoyé par W. Forsthe à Daniel Larrieu (1987). Daniel Larrieu cherche a « établir, inventer de nouveaux modes de relations à la création ». Pour sa composition il s'est appuyé sur une partition dessinée. Il y a un grande organisation des trajets, tracés en lignes droites, numérotés. Il travail lui aussi l'improvisation. Et organise l'espace, le temps, la lumière, la distribution des rôles en fonction des propositions des danseurs, des directions d’interprétation, des durées, des temps d'entrées et de sorties du plateau. Il est une figure marquante de la danse contemporaine française. Daniel Larrieu est aussi poète. Il a aussi dansé la chanson de geste avec Dominique Boivin et Pascale Houbin.

Ces quatre documents illustrent les différents types de composition d’œuvres chorégraphiques.

Chaque artistes à sa technique et sa manière de composer, et elles se différencient selon l'époque, d'abord le plan musico-scénique de Petipa de la Belle au bois dormant, un ballet créé en 1890 , puis l'extrait du livre Le danseur et la danse de 1980, ensuite le document sur Pina Baush de 1995 et enfin l'extrait sur Daniel Larrieu de 2014. Mais elles se différencient aussi selon les origines, Marius Petipa né en France mais qui a vécut en Russie, Merce Cunningham des États-Unis, Pina Baush d'Allemagne et Daniel Larrieu de France.

Leur époque et leur « origines » changent alors beaucoup de choses dans leur façon de composer et construire leurs œuvres chorégraphiques. Néanmoins, souvent quelques idées se rejoignent. En 1890, le ballet est basé sur une histoire, c'est très narratif, l'action est figuré par de la pantomime et bien sûr des danses. Tout est purement narratif, imaginaire et inventé. De plus, la danse a un vrai rapport avec la musique. Merce Cunningham lui, construit autrement, il s’appuie plus sur le hasard par des jeux, la « Chance » comme il appelle ça, mais on retrouve aussi l'inventivité. Avec Pina Baush, nous retrouvons aussi un certaine narration, mais tout est basé sur ce qu'elle a vécu personnellement ou vu, ou ce qu'on vécu et vu ses danseurs. Quand à Daniel Larrieu, il n'a pas vraiment de base pour ses chorographies, il est d'abord danseur contemporain puis instaure la « nouvelle danse française », qui suit le courant le la danse contemporaine.