Monde des affaires, Toyota
Par Christopher • 23 Septembre 2018 • 778 Mots (4 Pages) • 484 Vues
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faisant. (Page 139) « La connaissance créatrice », Nonaka et Takeuchi (1997). Nummi demande à ces employés d’être flexibles, pour ce faire, les employés doivent apprendre toutes les méthodes de production. De plus, Nummi utilise la méthode de stantardized work qui permet aux employées de définir eux même leurs méthodes de travail.
Pour continuer, le troisième mode de conversion des connaissances est l’extériorisation. Ce mode consiste à avoir un dialogue porteur de sens entre l’organisation et les travailleurs (page 139) « La connaissance créatrice », Nonaka et Takeuchi (1997). Pour ce faire, Nummi implique les travailleurs dans certaines des décisions de l’entreprise comme on peut le voir avec les propositions des employés de Nummi, qui font 8 propositions par an et la direction accepte 80% de celles-ci. (« NUMMI : de l’autonomie du travail à la socialisation de la production », d’Adler, P.),
Pour finir, le dernier et quatrième mode de conversion des connaissances et la combinaison. Cette méthode donne naissance à la connaissance systémique. (Page 139) « La connaissance créatrice », Nonaka et Takeuchi (1997). Nummi a créé de nouvelles techniques de productions telles que le système de contrôle visuel, qui permet de détecter les anomalies dans le système de production, qui priorise la qualité avant la productivité. Cette méthode a plus un but technique que social. (« NUMMI : de l’autonomie du travail à la socialisation de la production », d’Adler, P.),
Pour conclure, Nummi a su s’adapter grâce à la création de connaissances organisationnelles au sein de sa production.
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