L’organisation vue comme instrument de domination
Par Ninoka • 25 Février 2018 • 1 875 Mots (8 Pages) • 1 105 Vues
...
est celle du changement dialectique. C’est-à-dire de trouver les changements ou des tendances contradicatoires au sein d’une organisation. Le meilleur exemple pour démontrer cette logique serait lorsque le dirigeant de l’entreprise à pris la décision d’agrandir son entreprise. L’effet voulu étant de mieux prospérer, ce qui fut le cas quelque temps après, pourtant, cela a eu pour conséquence de ralentir l’entreprise. Celle-ci à du faire face à des difficultés financières.
Chaque personne, que se soit le dirigeant ou les employés, influence à leur manière le changement au sein de Cuisi-n-art. Le directeur en prenant des décision affecte les changements. Les designers en soumettant leurs nouvelles idées de décorations influence les changements de style à apporter. Le service de la comptabilité, dans lequel j’étais, à aussi une influence sur le changement lorsqu’on indiquait les choix stratégiques à faire au directeur. Tout cela démontre très bien que Cuisi-n-art peut être vue comme flux et transformation.
Évaluation critique :
Mon évaluation critique se fera en deux parties. La première étant un résumé des faits de l’entreprise par la suite il y aura une évaluation en tant qu’employé et en tant que gestionnaire
Au cours de la lecture diagnostique de l’entreprise Cuisi-n-art, on remarque très bien ce qu’elle est en réalité.
Pour en résumer, c’est une organisation qui exploite très bien les processus bureaucratiques qui respectent les principes de l’école classique de la gestion. Les règles sont très bien établis au sein de l’entreprise et la division du travail ainsi que les tâche sont bien décrites. On a pu aussi comprendre que l’organisation n’est pas très organique. Même si l’entreprise a à cœur le bien être de ses employés, elle prône beaucoup plus les principes mécaniques. On voit aussi que Cuisi-n-art utilise beaucoup la métaphore du cerveau qui permet à ses employés d’innover en partageant leurs idées nouvelles. C’est quelque chose en plein évolution au sein de la compagnie mais qui remarque à quel point cela est bénéfique. J’ai aussi compris que la culture de l’entreprise était son sens de la famille et de l’entraide qui est à l’ère de la société d’aujourd’hui. On pouvait aussi voir des sous-cultures au sein de cette organisation parmis les différentes classes d’emplois. De plus, nous avons déterminé que la théorie du patriarcat est très présente dans la compagnie et que le dirigeant devrait avoir l’esprit beaucoup plus ouvert sur certain aspect. Cuisi-n-art est aussi vue comme un système politique dans le sens où elle défend ses intérêts sans trop accorder de pouvoir à ses employés. Lors du dernier volet mentionné plus haut, nous avons déterminé que Cuisi-n-art veut la prospérité au détriement de la santé de ses employés. On peut remarquer aussi les classes sociales selon les différents postes chez l’organisation. Nous avons aussi mis en lumières les changements contradictoires qui sont liées entre eux dans un seul même nœud (image de la boucle). Le nœud étant la vision et la mission de l’entreprise qui est d’offrir la meilleure qualité au meilleur prix.
Voici un graphique qui illustre bien ce résumé.
De mon point de vue, en tant qu’employé, c’est une entreprise très prospère mais pour qui je n’envisage aucune carrière. J’ai moi-même quitté l’entreprise car je savais très bien que je ne pourrais pas faire les deux choses qui me tient à cœur : avoir une famille et une carrière. Du point de vue carrière, elle offre des possibilités infinis pour une personne comme moi, qui adore prospérer au travail et avoir des défis. En ce qui attrait à la conciliation famille-travail, l’entreprise à beaucoup de chemin à faire. Ce point de vue me permet aussi de faire des liens avec certaines métaphores vues comme celle de la prison du psychisme et de la culture. Je ne crois que l’entreprise va changer ces aspects. L’entreprise est telle qu’elle est et prospère bien dans son domaine. Par contre, si celle-ci veut garder ses employés longtemps, elle aurait intérêts à faire quelques changements.
Du point de vue d’un gestionnaire, cette entreprise n’est pas loin de la perfection. Une compagnie qui a partie de presque rien pour se rendre presque au sommet de la concurrence. L’entreprise sait se sortir des mauvaises passes par sa bonne gestion. C’est aussi une compagnie qui veut innover dans le domaine du désign de cuisine et salle de bain. Les employés connaissent très bien leurs tâches ainsi que leurs rôles au seins de la compagnie. Cette entreprise fait appel au personne qui désire diriger d’une façon très mécanique sans trop d’émotion. Même si on s’y sent comme dans une famille, l’entreprise adopte plutôt la règle d’un seul dirigeant. Seul Réal, directeur de Cuisi-n-art, peut prendre les décisions finales. Comme vue dans les différents volets, la compagnie gère d’une façon très strictes mais qui a souvent eu de bonnes conséquences du point de vue de la gestion.
Pour conclure, ce travail m’a permis de comprendre le fonctionnement d’une entreprise de différentes façons et sous différentes formes. J’ai aussi compris que chaque chose est liés. L’image de la boucle m’a très éclairés sur certain aspect de l’entreprise. Par exemple, même si un changement se produit dans un secteur cela à des effets dans les autres secteurs. J’ai aussi compris que la façon dont les gens pensent et leurs valeurs et croyances ont des effets, que sa soit négatif ou positif, sur les décisions de l’entreprise. L’endroit où l’organisation est a aussi un impact sur la façon de la diriger et de la comprendre. En fait, pour moi, une organisation est comme un être humain : Chaque secteur du corps travail en relation pour mener au même but. C’est l’image que j’ai d’une organisation à la suite de ce travail.
...